Vous êtes ici › Les groupes / artistesPThe Police › Outlandos d'amour

The Police › Outlandos d'amour

  • 1978 • A&M 75021-3311-2 • 1 CD

détail des votes

Membre Note Date
allobroge      dimanche 4 février 2024 - 02:46
Ramon      samedi 14 décembre 2013 - 20:07
SEN      vendredi 11 mai 2012 - 15:21
GrahamBondSwing      jeudi 9 mars 2023 - 14:07
adrenochrome      mardi 4 mai 2021 - 17:14
zugal21      dimanche 28 juillet 2013 - 09:34
Harry Dickson      lundi 1 juillet 2013 - 00:59
Jean Rhume      jeudi 10 mai 2012 - 20:16
Aiwass      vendredi 15 avril 2011 - 19:19
fc      samedi 20 décembre 2008 - 10:01
DrMuller      lundi 8 septembre 2008 - 13:55
wan      vendredi 1 juin 2007 - 01:03
the_guts_of_darkness      vendredi 8 décembre 2006 - 13:38
Intheseblackdays      vendredi 10 mars 2006 - 23:27
Seijitsu      dimanche 17 juillet 2016 - 10:26
AlXX      mardi 14 janvier 2014 - 19:50
Demonaz Vikernes      jeudi 10 mai 2012 - 18:31
sergent_BUCK      vendredi 2 février 2007 - 16:32
porc upin      mercredi 15 novembre 2006 - 17:40
Trimalcion      vendredi 10 mars 2006 - 19:19
Shelleyan      vendredi 10 mars 2006 - 16:47
Progmonster      vendredi 10 mars 2006 - 15:06
Nerval      lundi 11 avril 2011 - 13:32

cd • 10 titres

  • 1Next to You2:50
  • 2So Lonely4:49
  • 3Roxanne3:12
  • 4Hole in My Life4:52
  • 5Peanuts3:58
  • 6Can't Stand Losing You2:58
  • 7Truth Hits Everybody2:53
  • 8Born in the 50's3:40
  • 9Be My Girl, Sally3:22
  • 10Masoko Tanga5:40

informations

line up

Stewart Copeland (batterie), Sting (basse, chant), Andy Summers (guitare)

chronique

The Police sur Guts ? Oui. Parfaitement. Après tout, on n'est plus à ça près, pas vrai ? Et puis, pour couper court à tout éventuelle nouvelle levée de bouclier, je tiens à préciser ici qu'effectivement ce groupe me tient particulièrement à cœur. Évitons donc de tomber dans des travers aussi stupides qu'élitistes consistant à snober systématiquement tout ce qui est un tant soit peu populaire ou qui rencontrerait un succès de masse... Il fut un temps, même si c'est heureusement parfois encore le cas aujourd'hui, où réussite artistique et réussite professionnelle pouvaient aller de paire. Faut il le rappeler, les acteurs en présence cachent en réalité bien leur jeu. Comme documenté sur l'archive sonore "Strontium 90", parue très tardivement, Mike Howlett, ex-bassiste de Gong, a, un peu malgré lui, provoqué la rencontre de ces trois gaillards ; Andy Summers, dont il est le plus proche, alors actif au sein du combo de l'ex-Soft Machine Kevin Ayers et Stewart Copeland venant de quitter les vaguement progressifs Curved Air. Et puis il y a Sting - quoi qu'on en dise bourré d'un incroyable talent - qui va vite devenir la figure centrale de ce trio de fausses blondes oxygénées. En considérant d'où ils viennent, faire le pari d'une musique populaire se nourrissant de l'énergie punk en y injectant les rythmes particuliers du reggae était un défi pas forcément facile à relever. Alors, oui, bien sûr, les Clash s'y étaient déjà mis avant eux. Mais Topper Headon n'a pas la vision révolutionnaire que possède Stewart Copeland de son instrument. Joe Strummer n'a pas le bagage d'Andy Summers que des années de jazz lui ont permis de tout jouer. Et Paul Simonon est loin d'être Sting... Et c'est peut-être une bonne chose. Une des principales forces de ce premier album publié fin 1978, c'est de rendre d'apparence abordable des parties instrumentales plutôt redoutables. "Outlandos d'Amour" est sans conteste le plus ouvertement punk de leurs disques ("Next to You", "Peanuts", "Truth Hits Everybody") mais ceux qui s'entêteront à délibérément garder comme souvenir de ce disque celui d'une collection de tubes ("So Lonely", "Roxanne", "Can't Stand Losing You") n'auront pas spécialement tort non plus. Avec cette entrée en matière énergique, The Police prouve qu'il est un groupe intelligent diablement efficace.

note       Publiée le vendredi 10 mars 2006

dernières écoutes

Connectez-vous pour signaler que vous écoutez "Outlandos d'amour" en ce moment.

tags

Connectez-vous pour ajouter un tag sur "Outlandos d'amour".

notes

Note moyenne        23 votes

Connectez-vous ajouter une note sur "Outlandos d'amour".

commentaires

Connectez-vous pour ajouter un commentaire sur "Outlandos d'amour".

Ramon Envoyez un message privé àRamon

Une entrée en matière à fond de train, bien ancrée dans le post punk, avec ses références au reggae; un ensemble bien hargneux qui laissait présager le meilleur et une domination à venir.

Note donnée au disque :       
Harry Dickson Envoyez un message privé àHarry Dickson

Parce que d'avoir revu en copie neuve "Quadrophenia" plus de trente ans après, ça m'a donné envie de me refaire autant les Who que Police, ou The Jam. Sidérante fiction sur les Mods, qui annoncent les Punks et Skins. (Avec Sting donc, dont on voit une photo de son personnage dans le film au dos de ce premier LP de Police). Courrez au ciné.

Note donnée au disque :       
SEN Envoyez un message privé àSEN

Le meilleur Police ! 6 boules pour faire remonter la note !

Note donnée au disque :       
Wotzenknecht Envoyez un message privé àWotzenknecht
avatar

Le Monde de Monsieur Fred en avait fait une excellent parodie, pourtant

nowyouknow Envoyez un message privé ànowyouknow

"Ob-la-di Ob-la-da" qu'est-ce que je peux la détester celle là, dans mon top 3 des pires merdes de mccartney avec c-moon et all together now. dsl pour le hs.