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Burning Inside › The eve of the entities

11 titres - 43:57 min

  • 1/ Words of Wyndham
  • 2/ The eve of the entities
  • 3/ My own
  • 4/ The unknown
  • 5/ Masque
  • 6/ Engulfed in flames
  • 7/ The valley of unrest
  • 8/ Blind to all that exist
  • 9/ Chapters of youth
  • 10/ Drained of essence
  • 11/ Everlasting sleep

informations

Audio lab studios, Tampa, Floride.

line up

Richard Christy (batterie, claviers), Michael Estes (guitare), Steve Childers (guitare), Jamie Prim (chant, basse)

chronique

Burning Inside est maintenant surtout connu pour avoir en son sein le dernier batteur de DEATH, à savoir Richard Christy. Musicalement, ce combo américain officie dans un style beaucoup plus brutal et bien moins fin qu"un "the sound of perseverance". Enfin, moins fin, je me comprend. Car si on retrouve toujours le jeu de batterie phénoménal de Christy (ce type est incapable de tenir un poum tchak en fait) et des solos sympas (notamment au milieu de "blind to all that exist"), l'ensemble sonne bien plus death brutal (comme par exemple ce "Drained of essence" qui sonne carrément Suffocation) comme la pochette le laissait entendre. Ce qui différencie surtout Burning Inside de la masse de groupes du genre, c'est son niveau technique, et sa capacité à l'utiliser autrement que dans des riffs de poulpes. Je m'explique : si nous sommes ici en présence de death brutal, la forme est un peu différente. Le jeu de Christy tout d'abord, immédiatement reconnaissable Ce mec pose des rythmiques carrément jazz sur des gros riffs death ! On pense évidemment à Atheist, à juste titre, la variété et l'inspiration en moins. Dommage également que le son de caisse claire, manifestement triggé, finisse par énerver par son teint mat et sans vie. Il y a aussi tous ces breaks, bien placés qui viennent apposer quelques moments surprenants dans un album finalement bien conventionnel malgré ce qu'il présente. L'écoute passe "oh le salaud il touche !", "oh le bat**** ce break", et puis finalement on se rend compte que tout ça est bien sympa, bien composé ("My own" et "Drained in sleep" demeurent au dessus du lot) mais que finalement, il ne risque pas de revenir. Pas de riffs qui tuent, pas de compos qui tuent... Voilà donc un album qui ne fera pas vraiment date, quelque part entre la scène américaine technique, et des parties free à la Atheist, le feeling en moins... Vite acheté (pas cher, c'est pas pour rien qu'on le voit partout à 3€)... Vite oublié.

note       Publiée le mercredi 8 février 2006

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    Potters field Envoyez un message privé àPotters field

    quand même envie de tenter le coup... il m'intrigue ce skeud