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UNKLE › Psyence Fiction

  • 1998 • Mo Wax 724384 646226 • 1 CD

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Klozer      samedi 16 avril 2022 - 00:00
wan      dimanche 29 juillet 2007 - 18:16
Seijitsu      mardi 20 janvier 2015 - 22:10
Trimalcion      dimanche 22 janvier 2006 - 20:31
kaplan      jeudi 13 janvier 2011 - 18:01
Chaocracy      mercredi 17 novembre 2010 - 23:29
Kaiser Balder      jeudi 10 janvier 2008 - 15:46
Punkfloyd      samedi 2 décembre 2006 - 22:23
Progmonster      dimanche 29 janvier 2006 - 23:08
mroctobre      lundi 23 janvier 2006 - 09:30
GinSoakedBoy      mardi 8 décembre 2009 - 20:11

cd • 12 titres • 54:58 min

  • 1Guns Blazing (Drums of Death Part 1)
  • 2UNKLE Main Title Theme
  • 3Bloodstain
  • 4Unreal
  • 5Lonely Soul
  • 6Getting Ahead in the Lucrative Field of Artist Management
  • 7Nursery Rhyme / Breather
  • 8Celestial Annihilation
  • 9The Knock (Drums of Death Part 2)
  • 10Chaos
  • 11Rabbit in Your Headlights
  • 12Outro (Mandatory)

informations

Londres, Royaume-Uni, 1998.

line up

DJ Shadow (production, scratches), James Lavelle (production, voix 7)

Musiciens additionnels : Mark Hollis (piano 10), Kool G Rap (MC 1), Jason Newsted (basse, theremin 9), Thom Yorke (chant, basse, synthétiseur 11), Lyrics Born (MC 1), Lateef the Truth Speaker (MC 1), Alice Temple (chant 3), Richard Ashcroft (chant 5), Wil Malone (arrangements de corde 5, 8), London Session Orchestra (cordes 5, 8), Badly Drawn Boy (chant 7), Mike D. (MC 9), Atlantique (chant, composition 10)

chronique

UNKLE est le projet de James Lavelle, patron du très prisé (à l'époque) label Mo' Wax - projet conçu pour cimenter le "son" Mo' Wax et son breakbeat nouveau genre. Après bien des changements de personnel, Lavelle, pour le premier disque longue durée d'UNKLE, fait appel à son poulain l'Américain DJ Shadow, qui avait pignon sur rue depuis le remarqué "Endtroducing", disque certes intéressant, et très certainement fondateur dans ses vélléïtés expérimentales, mais que j'ai toujours trouvé pour ma part brouillon et peu abouti (mais je me trompe sans doute...) Avec le présent album, c'est pour ainsi dire le son d'un décennie entière qui est synthétisé à merveille, au travers de titres oscillant entre rap gargantuesque et bien agressif (l'insensé "Guns blazing"), trip-hop, electro/pop, metal ("Nursery rhyme" et sa rythmique folle, "The knock" avec un certain Jason Newstead à la guitare !), ambient, rock... Ce côté un peu touche-à-tout s'explique en partie par la présence de nombreux invités prestigieux : Thom Yorke, Richard Ashcroft, Mark Hollis, Alice Temple, Kool G Rap... DJ Shadow coordonne et compose l'essentiel. Ses beats démentiels trouvent un nouveau terrain pour se déployer, de manière plus discrète que sur "Endtroducing", certes, mais aussi plus efficace, côté "pop" oblige, une pop qui ravira aussi bien les amateurs de Massive Attack et des cordes de "Unfinished Sympathy" ("Lonely soul", "Celestial annihilation", qui vire au jeu de massacre), que les amoureux de Radiohead ("Rabbit in your headlights") ou même du Pink Floyd période Ummagumma. Pour tout dire, l'inspiration est présente de bout en bout ("Bloodstain" et sa sublime guitare psychédélique, la pop minimaliste et si touchante de "Chaos"). UNKLE s'est prolongé ensuite de manière moins convaincante. Mais "Psyence fiction", c'est toute la musique d'une époque, époque pas si lointaine, finalement...

note       Publiée le dimanche 22 janvier 2006

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Note moyenne        11 votes

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Seijitsu Envoyez un message privé àSeijitsu

Un peu du même avis que salida. Ce disque est une synthèse de son époque, plus particulièrement du trip hop et des musiques qui gravitaient autour à sa sortie. La fin de l'album (notamment Rabbit in your headlights) est beaucoup moins réussi que le reste (on dirait une mauvaise chute d'Amnesiac). Heureusement, ce qu'il y avant est d'une tout autre teneur tout en proposant plusieurs chefs d’œuvre comme l'hyper sensuel Bloodstain et l'electro rock bourrin Nursery rhyme.

Note donnée au disque :       
salida Envoyez un message privé àsalida

Si je devais choisir un album pour résumer les années 90 ce serait celui-ci. A peu près tout y passe. Si ce genre d'exercice de style manque nécessairement de profondeur il vaut avant totu pour le travail de production démentiel et terriblement particulier, même 15 ans après. La suite, sans dj shadow, n'aura pas du tout la même force. Les albums solos de Dj shadow non plus d'ailleurs...

Jacques Capelovici Envoyez un message privé àJacques Capelovici

Connais que " never never land". Pas mal.

Damodafoca Envoyez un message privé àDamodafoca

C'est vrai que le morceau avec mike D n'est pas franchement bon. Dommage. J'ai jamais écouté le second, mais war stories, le 3ème est pas mal du tout.

Potters field Envoyez un message privé àPotters field
le second album est bien moins excitant