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Napalm Death › Utopia Banished

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Marco      vendredi 28 août 2020 - 08:44
vigilante      mardi 25 août 2020 - 15:05
caténaire      dimanche 21 février 2016 - 19:46
Dead26      vendredi 20 février 2015 - 07:55
metalgrave      mardi 3 avril 2012 - 08:24
hell      dimanche 8 mai 2011 - 00:26
nicola      mardi 21 octobre 2008 - 19:50
putridfart      samedi 13 octobre 2007 - 19:45
EyeLovya      samedi 7 décembre 2019 - 12:12
NevrOp4th      dimanche 5 décembre 2010 - 11:34
Le_Vieux_Con      jeudi 24 août 2006 - 13:19
Serge      mardi 22 août 2006 - 00:04
Pokemonslaughter       - :
Demonaz Vikernes      mardi 17 mars 2015 - 15:35
Seijitsu      dimanche 20 décembre 2009 - 14:53
Paquito      samedi 16 juin 2007 - 23:10
tradeforall      lundi 31 octobre 2005 - 13:40
taliesin       - :
Klarinetthor      jeudi 10 juin 2021 - 15:25
PLF      samedi 12 février 2005 - 02:55
Ghoul Master      jeudi 26 septembre 2002 - 16:11

cd • 15 titres

  • 1Discordance
  • 2I abstain
  • 3Dementia access
  • 4Christening of the blind
  • 5The world keeps turning
  • 6Idiosyncratic
  • 7Aryanisms
  • 8Cause and effect part II
  • 9Juidicial slime
  • 10Distorting the medium
  • 11Got time to kill
  • 12Upward and uninterested
  • 13Exile
  • 14Awake (to a life of misery)
  • 15Contemptuous

informations

Windings studios, Wrexham, Pays de Galles, mars 1992.

line up

Shane Embury (basse), Mark "Barney" Greenway (chant), Mitch Harris (guitare), Danny Herrera (batterie), Jesse Pintado (guitare)

chronique

  • grind/death

Après un changement de line-up plutôt impressionnant et un album "Harmony corruption" certes bon, mais qui ne contenta pas le groupe, je me suis fait beaucoup de soucis pour les Napalm Death. En effet, y avait pas à dire, ça sentait le split à plein nez, d'autant plus qu'une compil était sorti quelques mois auparavant ! Mais non, le groupe ne s'est pas séparé, et au contraire, il en ressort beaucoup plus soudé sur ce "Utopia banished". Tout d'abord, le changement de batteur fut incroyablement bénéfique, non pas que Mick Harris fut mauvais (ce serait un blasphème !) mais son engouement pour le style se dissipait peu à peu et il aurait été dommage qu'un musicien peu enthousiasmé joue sur cet album qui respire la spontanéité et la franche brutalité : le groupe s'est enfin trouvé et ça s'entend ! Fini, les réminiscences "obituarienne" et le death classique, Napalm Death s'est trouvé son propre style : le parfait mélange entre leur grindcore des débuts et "Harmony corruption". Ainsi, on se retrouve avec l'album le plus brutal du "new" Napalm Death : des titres comme "I abstain", "Dementia access", "Aryanisms" ou bien d'autres encore sont particulièrement violents et représentent parfaitement ce que doit être le death/grind. Des rythmiques ultra-rapides, riffs bétons, une voix incroyable et très particulière (qui sera par la suite un emblème du groupe), voilà ce que sont les particularités de cet album. Alors, d'accord ce n'est pas leur meilleur album mais c'est de loin le plus agressif et surtout il représente l'album du renouveau qui fera accéder Napalm Death parmi les plus grands...

note       Publiée le jeudi 20 décembre 2001

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Note moyenne        21 votes

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nicola Envoyez un message privé ànicola

Écoute-le encore plusieurs fois, ça va venir.

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Klarinetthor Envoyez un message privé àKlarinetthor

On se fait presque chier sur celui-ci, en plus il est trop long. Pas glop le son, les placements de Barney... Bon oui ça riffe un peu et il y a surtout des parties de batteries toujours aussi irrésistibles. Dommage.

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vigilante Envoyez un message privé àvigilante

Héhé mon défouloir préféré avec le 'symphonies of sickness' de CARCASS ! Ces deux enregistrements n'ont pas pris une ride (ou c'est moi qui bloque dessus depuis 30 ans mais peu importe) Je me souviens hagard la première fois entendre du blast là dessus en me disant putain c'est tellement violent qu'il n'y a même plus de rythme. La voix de Barney c'était le coup de grâce, des lyrics puissants (merci pour les paroles sur le livret). Sans compter ces chœurs hurlés de cinglé en crise finale.
Un plaisir intact encore aujourd'hui, que je n'ai pas retrouvé dans les 3 ou 4 suivants que j'ai écoutés, malgré leurs qualités.

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nicola Envoyez un message privé ànicola

Boudiou, je n’avais pas noté celui-là.

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Shelleyan Envoyez un message privé àShelleyan
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Ah oui, encore des frais en perspective...