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Ghosting › Romantic death

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üflrü dü zbrrü      vendredi 12 janvier 2007 - 19:06
kuroikarasu      dimanche 22 janvier 2006 - 00:52
darkmusette      samedi 21 janvier 2006 - 14:36
érèbe      mardi 18 octobre 2005 - 08:29

cd • 11 titres

  • 1Blood ocean
  • 2Meaning of life
  • 3Crying
  • 4Ripped off
  • 5Schattengesang
  • 6Get me back
  • 7King of force
  • 8L'Eremitage
  • 9New world
  • 10Cyring (electric mix)
  • 11Denkmal

extraits vidéo

informations

Danse Macabre Studios, Bayreuth, Allemagne, juillet-septembre 1992

line up

Sascha Tayefeh (chant, claviers), Diana Rappauer (vocaux), Thar (guitares), Bruno Kramm (claviers, piano), Donnie McKay (batterie), Stefan Noll (basse), Wolfgang Cornet (claviers), Thomas Nilges (guitare), Annette Lachance (vocaux)

chronique

Ghosting, c'est un peu le groupe sur lequel on s'acharne volontiers avec plaisir. Il faut dire que nos lascars y mettent pas mal du leur pour se placer dans la ligne de mire... Leur attitude de poseur 'goth de chez goth', une première démo intitulée 'Black romantic'... Quand on prend le risque d'une démarche aussi cliché, il faut assurer. Pareil avec ce premier véritable album, les pierres tombales du cimetière juif de Prague, un titre comme 'Romantic death', à moins de receler une musique imparable, l'éclat de rire semble assuré... A première vue, tout se passe bien avec l'excellent 'Blood ocean' dans une lignée très Das Ich avec montées d'orgue, percussions lourdes, samples symphoniques. Par contre, dès le second morceau, ça se gâte quelque peu, voilà qu'on se rapproche plus d'un sous-Cure peu inspiré. Les atmosphères se veulent mystérieuses ('Schattengesang'),les guitares empruntées à The Mission (le riff de 'Ripped off') et aux Cure, le chant désespéré mais le timbre de Sascha Tayefeh manque de conviction et aurait même tendance à sonner un peu ridicule bien souvent. Sur un morceau comme le bon 'King of force', il est heureusement renforcé par un chant féminin qui donne plus de profondeur au tout, technique qui échoue par contre totalement sur le grotesque 'L'Eremitage' aux textes dignes des clichés du gogoth de 14 ans. La production et les aides aux claviers de Bruno Kramm (qui devra quasiment achever l'album à lui-seul vu les problèmes de personnel) ne suffisent pas à rebooster la démarche d'un groupe qui veut jouer les grands méchants et qui sonne au final bien gentillet. 2,5/6

note       Publiée le lundi 17 octobre 2005

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    Shelleyan Envoyez un message privé àShelleyan
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    Quand tu lis sur la page de Ghosting un vibrant hommage à John Balance et qu'il avoue que 'Horse rotor vator' est l'un des premiers disques dark qu'il a possédé et qu'il le considère comme une influence...On juge parfois mal les gens à l'emballage (ce qui n'excuse rien d'ailleurs)...

    kuroikarasu Envoyez un message privé àkuroikarasu
    Amen!! :D
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    darkmusette Envoyez un message privé àdarkmusette
    j'avais oublié l'existance d'un tel truc! un des plus gros nanar sonore de la grande époque german mystic des debut 90, un réel sketch auditif, petite préference pour la 8/ L'Eremitage avec son refrain à la voix feminine en français! "j'ai le paix"... irresistible!
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