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The Beatles › Rubber soul
- 1965 • Parlophone 7 464440 2 • 1 CD
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Membre | Note | Date |
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Olivista73 | vendredi 17 février 2023 - 08:18 | |
Int | mardi 9 juillet 2013 - 16:32 | |
Ramon | mardi 18 juin 2013 - 18:14 | |
pyosisified | dimanche 27 novembre 2011 - 17:43 | |
tampix | jeudi 22 septembre 2011 - 02:09 | |
mezreto | mercredi 13 juillet 2011 - 17:01 | |
ellington | mercredi 18 mai 2011 - 05:46 | |
Charles Pasqua | lundi 23 novembre 2009 - 12:51 | |
Grandgousier | jeudi 26 mars 2009 - 23:23 | |
necromoonutopia666 | jeudi 3 janvier 2008 - 20:31 | |
wan | mardi 11 septembre 2007 - 23:49 | |
Le_Vieux_Con | vendredi 7 septembre 2007 - 14:36 | |
Coltranophile | jeudi 19 juillet 2007 - 11:14 | |
solarfall | vendredi 15 juin 2007 - 11:37 | |
Macbeth | jeudi 15 mars 2007 - 21:11 | |
Crimson | jeudi 28 décembre 2006 - 19:51 | |
julien033 | mardi 31 octobre 2006 - 12:05 | |
JC93 | vendredi 1 septembre 2006 - 10:42 | |
jeanfi | dimanche 27 août 2006 - 19:10 | |
summicron | lundi 26 juin 2006 - 11:23 | |
muffinman | mercredi 21 juin 2006 - 02:29 | |
vampirenu | dimanche 30 octobre 2005 - 18:17 | |
Sheer-khan | lundi 24 octobre 2005 - 12:59 | |
Trimalcion | dimanche 16 octobre 2005 - 18:40 | |
allobroge | samedi 27 mai 2023 - 23:53 | |
Venomesque | vendredi 26 juin 2020 - 12:25 | |
Dariev Stands | vendredi 20 septembre 2019 - 16:30 | |
EyeLovya | jeudi 21 juillet 2016 - 14:29 | |
Klarinetthor | jeudi 7 juillet 2016 - 19:47 | |
nicliot | vendredi 23 janvier 2015 - 22:42 | |
Pacific231 | vendredi 9 janvier 2015 - 22:41 | |
Copacab | mardi 22 juillet 2014 - 01:29 | |
Seijitsu | mardi 18 juin 2013 - 18:28 | |
moustache | vendredi 14 septembre 2012 - 11:37 | |
enslaver_666 | lundi 28 mai 2012 - 06:55 | |
Nicko | vendredi 30 décembre 2011 - 15:50 | |
E. Jumbo | lundi 27 juin 2011 - 18:44 | |
2364 | mardi 14 septembre 2010 - 16:36 | |
crygor | mercredi 25 juin 2008 - 09:45 | |
heirophant | vendredi 20 juillet 2007 - 21:49 | |
Aiwass | samedi 9 juin 2007 - 20:01 | |
dazed | lundi 17 octobre 2005 - 22:54 | |
Progmonster | dimanche 16 octobre 2005 - 18:21 | |
Storm | lundi 10 avril 2023 - 22:51 | |
Ultimex | mardi 17 mai 2022 - 09:26 | |
Chris | vendredi 18 mars 2022 - 08:57 | |
zugal21 | jeudi 7 juillet 2016 - 18:16 | |
superbuck | mercredi 22 avril 2015 - 21:42 | |
Trelkovsky | samedi 19 juillet 2014 - 16:10 | |
Canicheslayer | dimanche 25 avril 2010 - 15:46 | |
HGBDC | dimanche 17 janvier 2010 - 13:00 | |
julayss | mercredi 2 janvier 2008 - 00:36 | |
Solvant | mardi 30 octobre 2007 - 03:16 | |
dondiguidon | mardi 1 mai 2007 - 20:58 | |
empreznor | samedi 13 mai 2006 - 21:18 | |
yedo | samedi 8 avril 2006 - 22:39 | |
cyprine | dimanche 3 janvier 2010 - 22:53 | |
Vilain Barbu | mercredi 20 décembre 2023 - 14:53 | |
SEN | jeudi 7 juillet 2016 - 18:57 |
cd • 14 titres
- 1Drive my car
- 2Norvegian wood (this bird has flown)
- 3You won't see me
- 4Nowhere man
- 5Think for yourself
- 6The word
- 7Michelle
- 8What goes on
- 9Girl
- 10I'm looking through you
- 11In my life
- 12Wait
- 13If I needed someone
- 14Run for your life
informations
automne 1965
line up
George Harrison (guitare, voix, sitar sur Norvegian Wood), John Lennon (voix, guitare), Paul McCartney (voix, basse, basse fuzz sur "Think for yourself", piano sur "Drive my car", "You won't see me", "The word"), Ringo Starr (batterie, voix, orgue Hammond sur "I'm looking through you")
Musiciens additionnels : Mal Evans (orgue Hammond sur "You won't see me"), George Martin (piano [11], orgue [6, 13])
chronique
Sacré disque. Nos parents l'écoutaient avec bonheur. Nous l'écoutons avec bonheur. Et je suis sûr que nos enfants, à leur tour, tomberont tôt ou tard sous le charme. Il n'y a pas d'âge pour découvrir les classiques, et cet album en est un, indiscutablement. Pour les Beatles, c'est un peu le sortir de l'adolescence. Et pour le rock aussi, par la force des choses. En deux ans, ils ont grandi (le monde entier, émerveillé, grandit en quelque sorte avec eux), et leur musique aussi. C'est une aura nouvelle qui émane de cet album. Peut-être que les Fab Four sont revenus des drogues en gardant en tête quelques-uns de leurs trips, auxquels ils ont mêlé leurs chants d'amour habituels, mais en y insufflant une douceur, une grâce inaccoutumées, je n'en sais rien. Expliquer ce genre de mystère est aussi simple qu'expliquer les mystères de la religion. Il faudrait que je parle de la basse ronflante et tourneboulante de "Drive my car", qui ouvre les festivités ; des harmonies vaporeuses et sublimes de "Norvegian wood", où John est allumé, joue de la guitare sèche tandis que George l'accompagne au sitar (déjà) ; des choeurs langoureux de "Nowhere man" ; de l'harmonium de "The word" ; du bref solo de guitare électro-acoustique au milieu du célèbrissime "Michelle" ; de "In my life", petit bijou d'élégance nostalgique (avec George Martin au milieu qui joue un petit intermède baroquisant au clavier), d'une retenue toute britannique ; de l'inspiration érotique de John reprenant son souffle sur "Girl" ; de l'emphase et l'urgence nouvelles de "If I needed someone" ; ou encore de "Run for your life", qui met en garde les petites filles contre les grands méchants loups, avec des accents de country pour rire... mais ce ne serait pas donner une idée exacte de l'alchimie sonore qui s'opère ici, où se mêlent si bien l'acoustique et l'électrique, la beauté suave des compositions et l'énergie tirée des premières amours musicales, le caractère intime et l'impact universel de ces chansons, l'innovation et le classicisme, l'intelligence, la pertinence, l'humour, le second degré. Oui, le rock 'n' roll, c'est bel et bien terminé. Et pourtant, il y a là une évidence confondante qui laissa tout le monde sur le cul. Aujourd'hui encore, en le réécoutant, je n'ai pas réussi à me relever. Ce disque est la perfection-même, l'aboutissement de l'extraordinaire travail accompli au fil des premiers albums, qui avaient déjà remodelé le visage de la musique pop. "Help !" avait quant à lui le parfait profil du disque de transition. Mais ici, de transition il n'est plus question, ni même encore d'un quelconque tâtonnement. "Rubber soul" n'est pas un point de départ pour les Beatles, c'est un point d'arrivée, c'est la fin de la pureté pop anglo-saxonne, qui achève toute concurrence et qui va mettre un formidable coup de pied dans la fourmilière : comment faire mieux que ça ? Comment parvenir au même degré d'aboutissement et de perfection en gardant le même vocabulaire ? Car c'est bien là tout le problème... Avec les mêmes armes, personne ne pourra plus les battre. Brian Wilson n'arrivait plus à en trouver le sommeil : sur ce disque, tout était bon, il n'y avait plus aucune reprise ni aucun morceau de remplissage, plus faible que les autres ; les Beatles continuaient à jouer, à chanter de manière simple, avec leurs fameuses harmonies vocales, leurs mélodies éclatantes, ils étaient toujours à la portée de tous... On connaît la formidable réponse que trouva la tête pensante des Beach Boys avec "Pet sounds". Mais en attendant, ce "Rubber soul" continuera à poser de sacrés problèmes... aux Beatles eux-mêmes, qui pour le surpasser iront explorer des contrées nouvelles... ou comment, à force de travail, on finit par se porter, NATURELLEMENT, sans y avoir réfléchi au départ, vers les bouleversements les plus profonds, sans plus de peine, tout en restant soi-même... Un miracle.
note Publiée le dimanche 16 octobre 2005
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- Vilain Barbu › Envoyez un message privé àVilain Barbu
Niais et ennuyeux.
- Note donnée au disque :
- Nicko › Envoyez un message privé àNicko
L'un de mes préférés des gars de Liverpool
- Note donnée au disque :
- (N°6) › Envoyez un message privé à(N°6)
C'est pas mal ce petit groupe anglais des sixties.
- Klarinetthor › Envoyez un message privé àKlarinetthor
Elle a pas pris avec moi malgre les nombreuses ecoutes, quand a miche miche, je ne sais plus comment elle s'insere.
- Note donnée au disque :
- Dioneo › Envoyez un message privé àDioneo Dioneo est en ligne !
Ah ben non, Moulin Rouge c'est pas pareil... Elle est grotesque certes tellement Buckley ne maîtrise de toute évidence pas la langue, et j'ai dû éclater de rire la première fois, tellement j'ai trouvé ça à l'ouest mais... Finalement les coups d'après j'ai trouvé qu'elle passait très bien - une sorte de respiration, en plus, entre deux morceaux plutôt "chargés" de cet album ô combien dense.