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Jethro Tull › Stormwatch
- 2004 • Chrysalis records TOCP 67287 • 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
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Ramon | dimanche 17 novembre 2013 - 12:41 | |
Aladdin_Sane | lundi 2 avril 2012 - 11:33 | |
ellington | jeudi 12 mars 2009 - 14:46 | |
sog | dimanche 9 octobre 2005 - 22:03 | |
Brainback | mardi 19 mars 2019 - 11:22 | |
Thierry Marie | samedi 26 juillet 2014 - 14:36 | |
guehlyn | lundi 9 octobre 2006 - 12:26 | |
taliesin | jeudi 6 octobre 2005 - 08:35 | |
Progmonster | mardi 4 octobre 2005 - 17:51 |
10 titres - 44:58 min
- 1/ North Sea Oil (3:08)
- 2/ Orion (3:55)
- 3/ Home (2:44)
- 4/ Dark Ages (9:07)
- 5/ Warm Sporran (3:31)
- 6/ Something's on the Move (4:24)
- 7/ Old Ghosts (4:20)
- 8/ Dun Ringill (2:37)
- 9/ Flying Dutchman (7:42)
- 10/ Elegy (3:30)
informations
Maison Rouge Mobile Studio, Fulham, Londres, Angleterre, printemps-été 1979
Il s'agit du pressage cartonné japonais à tirage limité. Cette édition comprend quatre titres bonus : "Stitch in Time" (3:39), "Crossword" (3:36), "Kelpie" (3:36) et "King Henry's Madrigal" (3:01) portant la durée de l'album à 59:39
line up
Ian Anderson (flûte, guitare acoustique, basse, violon, chant), Martin Barre (guitare, mandoline), Barriemore Barlow (batterie, percussions), John Glascock (basse, choeurs), John Evan (piano, orgue, synthétiseur, accordéon), David Palmer (synthétiseur, orgue)
chronique
Ce n'est pas un hasard si "Stormwatch" est le laisser pour compte de la décennie dorée du flûtiste unijambiste. Il représente pour beaucoup la fin d'une époque. Bien sûr, ça ne vaut pas "Aqualung" ou "Minstrel in the Gallery", mais à y regarder de plus près le douzième album studio de Jethro Tull s'inscrit dans une trilogie qu'il formerait aux côtés de "Songs from the Wood" et "Heavy Horses". Sans doute parce que la qualité n'est pas au rendez-vous, on a préféré oublier ce disque, comme les amateurs de Yes le font peut-être encore avec "Tormato". Il est d'ailleurs resté très longtemps indisponible et il a fallu attendre les remastérisations tardives pour qu'on puisse à nouveau se pencher sur son cas. Parce que, ne l'oublions pas, le sujet même du disque - on ne peut plus éloquent - le rattache aux deux albums précités. Mieux ; son propos reste plus que jamais d'actualité. Si Ian Anderson conclut ainsi son ode à la nature par un troisième acte à la note écologique la plus noire, rien de ce que nous pouvons entendre ici ne peut venir concurrencer les épisodes précédents. "Dark Ages" ou "Flying Dutchman" sont en réalité plus ennuyeux qu'ambitieux ; ils ne font pas vite illusion. Mais comment mettre du cœur à cette ultime réalisation alors que John Glascock, leur bassiste, meurt pendant les sessions d'enregistrement ? "Stormwatch" est sombre et froid, mais peu d'émotions véritables s'en dégagent. Suite à cela, Ian Anderson fera définitivement table rase du passé et reviendra avec "A", première lettre de l'alphabet, comme un nouveau départ qui ne viendra pourtant jamais, sensé être incarné par les synthétiseurs qui vont profondément défigurer Jethro Tull jusqu'à lui faire cracher une ignominie comme "Under Wraps" en 1984. Ne comptez pas sur moi pour vous en conter davantage, j'estime avoir eu beaucoup de courage à être parvenu jusqu'ici... Moralité : concentrez-vous dans l'ordre, et en priorité, sur "Aqualung", "Thick as A Brick", "Minstrel in the Gallery", "This Was" et "Songs from the Wood".
note Publiée le mardi 4 octobre 2005
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Note moyenne 9 votes
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- Aladdin_Sane › Envoyez un message privé àAladdin_Sane
Pas le meilleur mais il s'écoute encore bien cet album
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- Demonaz Vikernes › Envoyez un message privé àDemonaz Vikernes
Je m'étais arrêté à 1972, et j'ai fait le grand écart jusqu'à "A", sacré choc... et pas des plus agréables...
- Thierry Marie › Envoyez un message privé àThierry Marie
Mais cet album est plus qu'en demi teinte. En fait, selon moi, à part 'Dun Ringill' qui est magique (d'où le 3 boules), il n'y a rien de vraiment notable.
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- Thierry Marie › Envoyez un message privé àThierry Marie
En fait, à part 'Under Wraps' (et même, quand Anderson pioche dedans pour en donner des versions live et semi acoustiques, on peut se rendre compte que, si le traitement est exécrable...) tous les Jethro Tull, même les plus 'mauvais', recèlent de grandes chansons, de grands morceaux...
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- Thierry Marie › Envoyez un message privé àThierry Marie
"Et après? rien..." Mais, mon cher Ramon, as-tu seulement écoutés le tout dernier (je ne fais pas de différence entre Jethro Tull ou Anderson, en solo ou pas): 'Homo Erraticus?' Et, en remontant le temps, 'Rupi's Danse' (vraiment pas mal), 'The Secret Language Of Birds' (grand disque s'il en est), 'Roots To Branches' (un Jethro digne des 70's)...?
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