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King Crimson › Absent lovers

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Nijiumu      vendredi 8 janvier 2021 - 19:09
20sangs      dimanche 8 avril 2007 - 10:51
torquemada      mercredi 29 octobre 2003 - 16:15
fracture      mercredi 30 juillet 2003 - 11:19
Trimalcion      mardi 23 août 2005 - 17:40
Progmonster      jeudi 16 mai 2002 - 16:00
Nicko      lundi 15 juillet 2002 - 23:23

18 titres - 104:32 min

  • 1/ Entry of the crims (6:27) - 2/ Larks' tongues in aspic part three (5:05) - 3/ Thela hun ginjeet (7:07) - 4/ Red (5:49) - 5/ Matte kudasai (3:45) - 6/ Industry (7:31) - 7/ Dig me (3:59) - 8/ Three of a perfect pair (4:30) - 9/ Indiscipline (8:14) - 10/ Sartori in Tangier (4:40) - 11/ Frame by frame (3:57) - 12/ Man with an open heart (3:44) - 13/ Waiting man (6:26) - 14/ Sleepless (6:08) - 15/ Larks' tongues in aspic part two (7:54) - 16/ Discipline (5:04) - 17/ Heartbeat (5:15) - 18/ Elephant talk (8:57)

informations

The Spectrum, Montreal, Canada, 11 juillet 1984

line up

Adrian Belew (guitare, batterie, percussions, chant), Bill Bruford (batterie), Robert Fripp (guitare), Tony Levin (basse, chapman stick, synthétiseur, chœurs)

chronique

À défaut de faire réellement du neuf avec du vieux en cette fin de décennie, King Crimson a désormais pris l'habitude d'exhumer ses vieilles bandes pour justifier son retour. Depuis leur reformation officielle, Robert Fripp a eu plus souvent l'occasion de prouver qu'il était un archiviste hors pair plutôt qu'un musicien émérite. Mais enfin, Absent Lovers a un intérêt non négligeable ; il faut donc attendre ce mois de juin 1998 pour que la période post wave de King Crimson ait enfin droit à son double album live officiel, boudé jusqu'ici pour les raisons que l'on sait. Oui, ce King Crimson là était orienté pop, mais qui, dans les années quatre-vingt, ne l'était pas ? Mais ne percevoir que cela, c'est pointer du doigt la surface apparente de l'iceberg et se mettre volontairement à l'écart de tout ce qui se cache bien en dessous. Au milieu de ce marasme musical, King Crimson proposait tout de même une musique aux aspects avant-gardiste que peu de ses compatriotes étaient à même de proposer, à l'image de cette improvisation, Entry of the Crims qui, à elle seule, vous me lisez bien, vaut l'acquisition de l'album, pour tout inconditionnel qui se respecte. Absent Lovers, décliné en trois couleurs (une par région : pourpre pour l'Europe, bleu pour les Amériques, jaune pour l'Asie), comme les albums qu'il est sensé représenter, remplit en tout point son contrat ; restituer en intégralité l'ultime concert de cette mouture du groupe qui, sous ses airs inoffensifs distillait une musique habitée et dérangeante (cf. ses versions de Industry et Dig Me).

note       Publiée le jeudi 6 décembre 2001

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Nicko Envoyez un message privé àNicko
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Mouais, j'ai du mal... Je suis pas un fan du Crim' des années 80, mais ça reste du King Crimson en live, donc ça passe, mais bon les sonorités me déplaisent pas mal...
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fracture Envoyez un message privé àfracture
Arrgggggggghhhh, le premier CD déchire un max! Cette suite implacable Entry of the Crims / Larks' part III / Thela est dantesque. On a même pas le temps de se reposer qu'un Red monstreux vient nous assomer. Une pause salutaire avec Matte Kudasai, mais cela repart de plus belle avec Industry et Dig Me pour exploser finalement avec Indiscipline. Décideément, ce premier CD est à ranger dans heures les plus chaudes du Crim'. Le 2ème CD est lui bcp plus pop, plus lisse (quoique Larks' part II en ferait pâlir plus d'un) parce que formé principalement des morceaux "pop" de la trilogie Crimsonienne des 80's. En définitive, un bon 5/6 bien mérité, ceci d'autant plus que les versions live sont souvent supérieures à leurs pendants studios. A écouter fort.... voire très fort, tant le son est bon!
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