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Faust › The Faust tapes

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Membre Note Date
aur      jeudi 29 septembre 2005 - 13:33
robingoodfellow      jeudi 27 décembre 2007 - 14:22
Klarinetthor      mercredi 17 août 2016 - 23:19
Pacific231      mardi 16 décembre 2014 - 22:16
Seijitsu      samedi 26 mai 2012 - 14:49
Kronh      dimanche 26 juin 2011 - 01:38
GinSoakedBoy      jeudi 14 mai 2009 - 19:24
snooky      samedi 31 janvier 2009 - 19:58
érèbe      mardi 31 octobre 2006 - 19:08
Progmonster      vendredi 23 septembre 2005 - 12:27
Punkfloyd      dimanche 7 juin 2009 - 19:08

1 titres - 43:44 min

  • 1/ The Faust Tapes (43:44)

informations

Wumme Studio, Hambourg, Allemagne, juin 1971 - juin 1973

line up

Werner "Zappi" Diermaier (batterie, percussions), Hans-Joachim Irmler (orgue), Arnulf Meifurt (chant), Jean-Hervé Péron (chant), Rudolf Sosna (basse, chant), Gunter Wusthoff (synthétiseur, saxophone)

chronique

  • psychédélique > kraut rock

C'est Virgin qui les débauche, sans trop savoir où ils mettent les pieds. Richard Branson peut se le permettre, les cloches tubulaires de son ami Michel Vieuxchamp lui ont donné les moyens. "The Faust Tapes" est ... tra la la la la ... une sorte de matérialisation de l'impossible. Le groupe joue, le groupe répète, le groupe sait jouer. Mais ça ne l'intéresse pas plus que ça. Tout le monde le fait, non ? Les bandes tournent mais c'est moins ce qu'ils enregistrent que ce que l'on va pouvoir faire à posteriori de ces bandes qui les intéresse. Oui, le montage anarchiste de leur première réalisation refait une entrée fracassante dans leur univers ou, pour être tout à fait exact et ainsi mieux saisir la portée de leur démarche, faudrait-il ... j'ai mal aux dents, j'ai mal aux pieds aussi... dire : "le première univers de montage réalisation refait anarchiste fracassante une dans leur entrée"... L'album s'est pourtant bien vendu, surtout en Angleterre, où le jeune label menait alors une campagne promotionnelle agressive en proposant le disque au quart de son prix ! Cela a certainement aidé Faust à se faire connaître, mais quant à savoir si grâce à cela nos amis allemands ont réussi à conquérir un nouvel auditoire, j'avoue très fort en douter. En même temps, on ne peut pas ... tuuut tuuuut... tuuut tuuuut... reprocher à Faust de mentir sur la marchandise, le titre étant, me semble-t-il, suffisamment explicite. Mais c'est peut-être trop aussi. D'un point de vue purement artistique, c'est là leur expérience la plus extrême ; un de ces nombreux objets musicaux non-identifiés qui vont permettre l'émergence d'une démarche concrète dans une certaine frange de la musique pop que l'on qualifiera bientôt d'industrielle. Et si l'on a de quoi rester en pamoison ... aaaaaaaaaaaoooooooouuuuuuuuuuhhhhhhaaaaaooooooouuuuuuhhhhhhhh ... face au résultat, le voyage entreprit sur leur troisième disque ne possède pas la force de cohésion de leur premier essai, lui aussi pourtant très bordélique ... Scheiße! Habe ich mir noch den finger geklemmt.

note       Publiée le vendredi 23 septembre 2005

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    Klarinetthor Envoyez un message privé àKlarinetthor

    C'est pas le plus facile celui-ci purée (bon Proggy quand il tapait ses entrées 1973 CD,... il ne devait pas fumer que de la pomme).

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    snooky Envoyez un message privé àsnooky

    Malgré les critiques élogieuses de pas mal de revues dites "spécialisées", j'avoue avoir eu beaucoup de mal à "digérer" cette musique ??? très indigeste.Et le recul n'a guère arrangé les choses.Musique bruitiste, collage dadaïste, de quoi faire frissonner toute une génération. Rien que d'en parler, j'ai mal aux dents.Et aux pieds aussi...

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    saïmone Envoyez un message privé àsaïmone
    avatar
    le disque qui te fait mal aux dents. Aux pieds aussi...
    aur Envoyez un message privé àaur
    Là, on commence à entendre les marteaux piqueurs et autres perceuses sur certains morceaux. Bruitiste, indus, en effet ! "Chère chambre" est un grand moment de poésie dada décalée, qui me fait un peu penser à "Obsolete" d'une certain Dashiell.
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    aur Envoyez un message privé àaur
    Hahaha !!! Y's lache not' proggy !
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