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Discordance Axis › The Inalienable dreamless
- 2000 • Hydrahead records 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
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Int | mercredi 11 octobre 2023 - 17:59 | |
Saïmone | dimanche 27 novembre 2016 - 14:19 | |
necromoonutopia666 | lundi 29 décembre 2008 - 20:56 | |
blub | lundi 26 mars 2007 - 21:32 | |
romanovski | samedi 3 mars 2007 - 19:48 | |
Powaviolenza | dimanche 9 juillet 2006 - 13:48 | |
EyeLovya | mercredi 8 février 2023 - 22:28 | |
Boloss999 | vendredi 17 juin 2022 - 19:53 | |
dimegoat | dimanche 27 novembre 2016 - 13:39 | |
DesignToKill | dimanche 12 janvier 2014 - 00:51 | |
NevrOp4th | dimanche 16 août 2009 - 20:59 | |
vargounet | dimanche 4 mai 2008 - 10:40 |
17 titres - 23:23 min
- 1.Castration Rite - 2.The Inalienable Dreamless - 3.Sound Out The Braille - 4.Oratorio In Grey - 5.Vacuum Sleeve - 6.Angel Present - 7.The Necropolitan - 8.Pattern Blue - 9.The End Of Rebirth >mp3 - 10.Loveless - 11.Radiant Arkham - 12.Use Of Weapons - 13.Compiling Autumn - 14.Jigsaw - 15.The Third Children - 16.A Leaden Stride To Nowhere - 17.Drowned
informations
line up
chronique
"Jouhou" nous avait mis la puce à l'oreille : Discordance Axis se professionnalise… "The inalienable dreamless", dernier effort du groupe, brille par sa production tranchante comme un scalpel laser, et où l'on retrouve un groupe super carré, précis comme une horloge suisse. Marton et Witte ont encore progressé niveau technique, et tandis que le premier nous offre un véritable festival de riff tous plus hachés les uns que les autres, où ça dissone, ça saute et ça "fast-pick" avec une précision à faire pâlir Dr Carter, le deuxième nous blast la gueule à la vitesse de la lumière. Bon, Chang, n'en parlons, lui, il en tient une sacré couche, il a mis les growls de côté pour se consacrer uniquement au "truc" criard complètement malade qui lui sert de gosier. Bref, du grind super classe, ultra violent et tout et tout, mais un truc me chiffonne quand même… le grind, c'est bien du bordel dans ta gueule non ? ça tabasse ta race sans rien demander en retour… or là, le défaut de ce disque, c'est peut être d'être trop propre, trop "pro"… là où les premiers enregistrement du combos brillaient par leur folie furieuse (jouer de la guitare avec une brique… et puis quoi encore ?), ce "inalienable dreamless" sonne beaucoup trop "premier de la classe" pour être sincère. Un sommet de grind, certes, mais qui manque peut être un poil de folie. Vous allez trouver que je chipote, mais le grind, c'est pour les malades, et ça n'a jamais rien eu à voir avec le death. Oui, sans rapport, et je vous emmerde.
note Publiée le vendredi 9 septembre 2005
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- Boloss999 › Envoyez un message privé àBoloss999
Marrant, la chronique critique le côté pro, alors que selon moi ça donne tout le chârme.
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- Rastignac › Envoyez un message privé àRastignac
Boudiou. Même à l'oef ils arrivent à scotcher le public les sss.
- saïmone › Envoyez un message privé àsaïmone
https://www.youtube.com/watch?v=UEne6j6Sehg ça c'est "fou", comme grindcore ! "arigato gozaimasu !"
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- Kagoul › Envoyez un message privé àKagoul
"ça manque un peu de folie" ^^ sacré saimone ! complètement barré cet album ! Oui bon j'ai compris un peu de folie au niveau du son, trop propre ! j'aime quand même assez et ça bote le cul.
- dimegoat › Envoyez un message privé àdimegoat
Quand on commence à faire de la gymnastique sur cet album, il est grand temps de partir en maison de repos.
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