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Nasum › Shift
- 2004 • Burning heart records 1 CD
24 titres - 37:29 min
- 1: Particles - 2: The engine of death - 3: Twinkle, twinkle little scar - 4: No paradise for the damned - 5: Wrath - 6: Fear is your weapon - 7: The deepest hole - 8: High on hate - 9: Pathetic - 10: Circle of defeat - 11: Like cattle - 12: Ros - 13: The smallest man - 14: Cornered - 15: Strife - 16: The clash - 17: Hets - 18: Closer to the end - 19: Fury - 20: Fight terror with terror - 21: Ett inflammerat sar - 22: Deleted scenes - 23: Creature - 24: Darkness falls
informations
line up
Jon Lindqvist • basse; Mieszko Talarczyk • chant et guitare; Anders Jakobson • batterie et chant; Urban Skytt • guitare
chronique
Alors que "Helvete" m'avait un peu déçu par le ralentissement de tempo, revoici Nasum avec une nouvelle rondelle atomique et chimique, "shift", soit le changement dans la continuité. Le moins que l'on puisse dire, là, c'est que ça blast dur de chez dur. Ultra sonique, je vous dis. Mais ULTRA SONIQUE, à faire pâlir Discordance axis niveau vitesse, c'est dire. Et Mieszko dans une forme olympique, hurlant comme un damné avec un phrasé presque aussi rapide que celui de la batterie... Les growls sont assez peu présent, mais ceux-ci prennent une dimension beaucoup plus "evil" que par le passé, parfois assez proche d'un Morbid Angel (!), ceci grâce à quelques effets bien sentis. Pourtant, même si ce "shift" se présente comme plus bourrin que "Helvete", il n'en abandonne pas pour autant les plans mélodiques, mid-tempo et groovy qui en ont fait la gloire. Mais là, ils s'avèrent inspiré comme jamais, laissant tomber les gimmicks un peu trop évident du précédent album. Escapade screamo-grind, voir même solo (!), d'une puissance hors du commun (hey ho, on parle du gosier de mieszko là), mosh part dévastateur, destruction de tympans, inspiration crust de retour (merci Genocide SuperStar), et surtout ambiance sombre, sombre, voir même mélancolique. Oui, c'est bizarre d'écrire que du grind peut être sombre et mélancolique, mais c'est pourtant la vérité. Jamais je n'ai entendu d'album de grind aussi varié (tout est relatif hein), aussi dévastateur et rapide, et aussi intense émotionnellement. Pour leur dernier opus, on peut dire qu'ils nous ont gâté, en nous offrant pas moins qu'un sommet discographique de guerre nucléaire jamais vu depuis... "Inhale/Exhale". Allez Mieszko, déconne pas, reviens.
note Publiée le mercredi 7 septembre 2005
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Note moyenne 8 votes
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commentaires
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- Son Of Sulphur › Envoyez un message privé àSon Of Sulphur
C'est leur peché, mais Mieszko est amour.
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- born to gulo › Envoyez un message privé àborn to gulo
en fait non, au casque, vraiment trop de passages mélos, la voix aidant on croirait du Great Deceiver, putain de suédois
- born to gulo › Envoyez un message privé àborn to gulo
le côté rotten sound screamo super bourrin commence à passer ; le côté mélo, moins ; mais ça rocke alright
- Son Of Sulphur › Envoyez un message privé àSon Of Sulphur
- Un album d'une rare intensité. Un grand 6.
- Note donnée au disque :
- jajard › Envoyez un message privé àjajard
- un des meilleurs abum du groupes. dommage qu'il n'existe plus. on pourra toujours se rattrapper sur grind final, la discographie de Nasum qui est un sommum de la violence grind
- Note donnée au disque :