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Converge › When forever comes crashing

11 titres - 38:51 min

  • 1: My unsaid everything
  • 2: The high cost of playing God
  • 3: In harms way
  • 4: Conduit
  • 5: The lowest common denominator
  • 6: Towing Jehovah
  • 7: When forever comes crashing
  • 8: Ten cents
  • 9: Year of the swine
  • 10: Letterbomb
  • 11: Love as arson

informations

Produit par Steve Austin

line up

Kurt Ballou (guitare, électronique, chœurs), Jacob Bannon (chant), Aaron Dalbec (guitare, chœurs), Steve Brodsky (basse, guitare), Damon Bellorado (batterie).

Musiciens additionnels : Steve Austin (chœurs), Jay Randall (chœurs), Travis Shettel (cymbale), Jeff Feinburg (chœurs), Ben Cummings (chœurs), Matt Pike (chœurs), Grail Mortillaro (chœurs), Ryan Parker (chœurs), Tre McCarthy (chœurs).

chronique

Alors que Converge avait déculotté ces vieux réac’ du hardcore avec "Petitioning the empty sky", le voilà qui remet le couvert avec un disque encore plus jusqu'au boutiste, "When forever comes crashing". Plus metal, plus violent, plus varié mais aussi plus unitaire, cet opus dépasse allègrement la qualité de son prédécesseur. Alors que le disque démarre sur les chapeaux de roues (comme toujours) avec "My unsaid everything" (tuerie hardcore surpuissante), le voilà qui s'embarque dans du hardcore metal moshisant qui mue de l'old school / rouleau compresseur vers l'aplatissant type coup de massue. "In harms way" nous fait respirer avec sa basse énorme et son feeling presque post-rock, tandis que "Conduit" se révèle être une bonne boucherie, à l'instar de "Towing Jeovah" qui aura tôt fait de réduire en miette les plus valeureux du mosh-pit... et ainsi de suite. Alternance de morceaux calmes et d'autres bourrins, et déjà le groupe se fourvoie dans des titres plus lourds ("the lowest common denominator"), écrasant et noisy, qui t'écrase sur le sol comme une vulgaire merde. Bien que le disque soit sans réelle surprise compte tenu de l'allure de "Petitioning", il se révèle de meilleur gabarit, grâce à une production enfin digne de ce nom, et surtout des titres plus cohérents entre eux ("Petitioning" n'étant après tout qu'une collection de morceaux pris ici et là). Une sorte d'album transition donc, qui reste excellent de par sa variété, mais qui n'annonce en rien l'ultraviolence de leur futur chef d'œuvre "Jane Doe".

note       Publiée le mercredi 7 septembre 2005

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    Note moyenne        17 votes

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    commentaires

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    E. Jumbo Envoyez un message privé àE. Jumbo

    Bordel ce truc est MÉCHANT et MALSAIN. J'y comprends jamais rien et j'ai l'impression d'écouter un truc différent à chaque fois. Mais y a vraiment quelque chose qui me met mal à l'aise dedans...

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    born to gulo Envoyez un message privé àborn to gulo

    je le ressors ; et donc, c'est le meilleur, à égalité avec YFM ; très starkweather, mine de rien

    Note donnée au disque :       
    E. Jumbo Envoyez un message privé àE. Jumbo

    Vraiment pas mal aussi à la lumière de la 3e écoute, moins carrousel de baffes que Petitioning, moins dynamique, mais bien varié aussi avec plus de passages calmes, et certains moment qui butent bien.

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    blub Envoyez un message privé àblub
    Slayer et Black Flag sont des influences de Converge c'est certains mais aussi Rorscharch et Unbroken! Aprés Deadguy aussi mais t'as raison c'est moins évident!
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    zarcé Envoyez un message privé àzarcé
    Deadguy et Kiss it Goodbye c'est les parrains de Botch ... de WFCTC c'est moins évident, Slayer et les Black Flag ont influencé Converge aussi