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King Crimson › Live in Warsaw, 2000

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summicron      lundi 26 juin 2006 - 10:42
Progmonster      lundi 23 mai 2005 - 11:30

14 titres - 106:03 min

  • 1/ ProzaKc Blues (6:09)
  • 2/ The ConstruKction of Light (8:43)
  • 3/ The World's My Oyster Soup Kitchen Floor Wax Museum (7:42)
  • 4/ Improv : Warsaw (12:35)
  • 5/ Dinosaur (5:27)
  • 6/ One Time (5:52)
  • 7/ Vrooom (4:46)
  • 8/ Cage (5:27)
  • 9/ Into the Frying Pan (6:40)
  • 10/ Larks' Tongues in Aspic, part IV (13:54)
  • 11/ Three of a Perfect Pair (4:01)
  • 12/ The Deception of the Thrush (10:18)
  • 13/ Sex, Sleep, Eat, Drink, Dream (7:12)
  • 14/ Heroes (7:17)

informations

Roma, Varsovie, Pologne, 11 juin 2000

line up

Adrian Belew (guitare, chant), Robert Fripp (guitare), Trey Gunn (warr guitar), Pat Mastelotto (batterie, pecussions électroniques)

chronique

Quelle mouche m'a piqué un jour de me sentir contraint et forcé d'acheter tous les titres à paraître dans le cadre de ce King Crimson Collector's Club ? La livraison trimestrielle de ce mois-ci me fait regretter ma dévotion aveugle. Mais en plus de vingt titres, voilà donc la première publication qui s'attarde sur le Crimso' de "The ConstruKction of Light". Le "Live in Nashville" m'avait laissé une bonne impression ; le jeu de batterie avait été repensé, et quantité de titres inédits laissaient entrevoir la promesse d'un album supérieur, chose que "The Power to Believe" s'empressa de confirmer. Ici, nous revenons un an en arrière, et dès les premières secondes, ce sont les mauvais souvenirs qui m'assaillent. L'entrée façon pet coulant de "ProzaKc Blues" me fait comprendre d'emblée que je vais devoir subir pendant près de deux heures la destruKction d'un mythe. Car l'album est double... Autant se faire l'overdose tout de suite, histoire d'en être quitte par la suite. Le concert débute donc en suivant le fil de l'album ; le titre "The ConstruKction of Light", malgré mes réticences justifiées, est sans doute ce que King Crimson a produit de moins pitoyable dans le cadre de cet épouvantable album. Mais... Incroyable ! Qu'entends-je ? Adrian Belew se plante à deux reprises, et se ramasse comme il peut au cours de l'interprétation ! Génial ! Voilà qui insuffle un peu d'inattendu dans un concert prévisible (cf. l'improvisation peu inspirée), et peut-être aussi de quoi relever l'intérêt de ce disque... Il ne me reste plus qu'à guetter les solos de Fripp ou Belew pour espérer entrevoir cette lumière noire dont KC s'est toujours fait le chantre. La matière est si inutilement dense que rien ne peut hélas s'en extraire. Les seuls instants de fraîcheur surviennent quand Adrian Belew interprète à la guitare électro-acoustique "Cage" et "Three of a Perfect Pair", un exercice inhabituel mais bienvenu, pour ne pas dire nécessaire. Tous les titres de "Thrak" passés en revue ici sonnent plat. Le pauvre Pat Mastelotto qui a déjà le mauvais rôle est tout simplement sous-mixé si bien que sa prestation se résume à un bruit de fond façon... enfin, je vais arrêter là mes références scatologiques. Inutile de vous faire un dessin.

note       Publiée le lundi 23 mai 2005

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    summicron Envoyez un message privé àsummicron
    Très bonne publication KCCC avec un live de 2000 qui montre les origines du receuil Heavy ConstuKction. Robert Fripp l'a bien spécifié, les KCCC ne sont pas digne des publications de King Crimson, mais sont seulement là pour la documentation! A acquérir donc seulement pour le courtisan du Roi Cramoisi.
    Note donnée au disque :       
    fracture Envoyez un message privé àfracture
    Marrante cette chro.... ;o)