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Enregistré live au Peppermint Lounge, USA, les 25 et 26 février 1983
Kid Congo Powers (Congo Powers) (guitare), Lux Interior (chant), Poison Ivy (guitare), Nick Knox (batterie)
N'ayant encore jamais eu la chance de voir les Cramps en concert, j'ai une tendance certaine à me délecter de tous les enregistrements live d'eux sur lesquels je mets la main. 'Smell of female' ne fait pas exception à la règle. Certes, le son, bien que tout à fait correct, n'est pas le summum du genre, mais la qualité des titres choisis et leur interprétation incite vite à ne se concentrer que sur la musique. Un show très inspiré garage /rockabilly dans ses rythmiques et ses guitares (le groupe n'ayant pas de bassiste, les sonorités de ces dernières sont particulièrement développées, à la fois sales et profondes), comme sur l'excellent 'Call of the wighat'. Ces structures rock'n'roll ont aussi l'intérêt de présenter un aspect plus mélodique et moins sauvage des Cramps ('I ain't nuthin' but a gorehound'), Lux Interior a ce timbre typique de rocker, l'aspect caverneux et glauque en plus qui sied parfaitement à ce genre de musique. A la base un mini, l'album est enrichi dans sa version cd de trois titres bonus qui donnent tout simplement envie de s'habiller en léopard et de s'acheter un perfecto plein de têtes de mort, yeah !
note Publiée le samedi 5 mars 2005
Note moyenne 2 votes
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J'adore cette reprise "Faster pussycat" !!! je peux me la passer en boucle :) le film du même nom est à voir absolument !
Tiens, y m'semblait pourtant moi qu'c'était moi qui était vert en les loupant, persuadé que j'étais passé à côté d'une bonne grosse claque scénique, pour le coup je regrette pas, ça m'aurait peut-être fait bouder le disque, qui lui est terrible trouvé-je
J'y étais à la Maroquinerie, ils sont un peu vert... Mais je crois en eux comme j'ai cru aux mecs de The Horrors.. qui se cachent on dirait.
Ou est la semi-ironie ? Ca envoie sévère, the Jim Jones Revue ! Sur disque, au moins, pas pris le temps de les voir en concert la dernière fois qu'ils sont passés à la Maro ; par contre, le rapport avec les Cramps, faut quand même creuser, Jim Jones à un côté plus rock'n'roll de big band à l'ancienne (enfin oui, j'aime bien enculer les mouches, merci)
Et puis la relève est assurée par les mignons de The Jim Jones Revue. (semi-ironique je suis)