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Moonlyght › Progressive darkness
- 2002 • Metal disk records 1 CD
7 titres - 55:28 min
- 1/ Fantasy (8:09)
- 2/ The sceptic traveller (7:05)
- 3/ Ride on ice storms (7:25)
- 4/ A tale from a fantastic kingdom (8:12)
- 5/ The autumn's freezing harmony (7:51)
- 6/ From honour to nothingness (4:39)
- 7/ Progressive darkness (11:49)
informations
line up
Roby (chant, guitare), Theo (clavier), Davey (basse), Caps (batterie), Fred Bedard (guitare)
chronique
Celle là croyez moi j'ai vraiment eu du mal à l'écrire ! Tout d'abord parce que le style pratiqué par Moonlyght est assez difficilement descriptible. On pourrait résumer la musique de ces canadiens à une éspèce de heavy/dark metal bourrés d'orchestrations remplies d'instrument divers (nappes de claviers, pianos, violon.. et euh g cru entendre de l'accordéon mais peut-être je me trompe), un chant lyrique masculin, parfois féminin, et un chant extrême qui fait parfois son apparition... Le genre de disque qui va clairement plaire aux amateurs de heavy, et surtout de musiques complexe, riche, aux structures longues (quasiment tous les morceaux font plus de 7 minutes) et riches en breaks. Les tempos sont majoritairement peu élevés, renforçant le côté épique (excepté le très heavy "From honour to nothingness"), et l'écoute de chacun de ces morceaux fait immanquablement penser au chapitre d'une histoire que l'on écouterait tranquillement allongé dans son lit. En cela, il est clair que le pari est réussi, Moonlyght parvient à créer une musique qui crée une atmosphère générale relativement prenante (les très nombreux passages orchestraux avec violons, pianos et autres effets de claviers n'y sont clairement pas étrangers). On pense parfois à un Diabolical Masquerade qui aurait trop mangé de heavy/speed à la suèdoise, parfois à un Empyrium, d'autres moment à un Ebony Tears (premier album), bref un disque qui sait également se faire caméléon... Seulement, le disque ets long... Très long, et très linéaire... Si à l'instar d'un Empyrium, l'ambiance était hyper prenante cela ne constituerait pas un défaut, mais les quelques longueurs de l'album (quand même une heure en 7 morceaux) finissent par avoir raison de l'auditeur... Il manque ces quelques aérations nécessaires à une écoute prolongée. Bon rien de bien grave non plus, mais je dois bien avouer que l'écoute intégrale se montre difficile de mon côté... Peut être est ce parce que je ne suis pas non plus très spécialisé dans ce genre... Tojours est il ue les qualités de ce Moonlyght sont, elles, évidentes, et je vous invite grandement à aller tester par vous même...
note Publiée le vendredi 24 décembre 2004
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- radioactivity › Envoyez un message privé àradioactivity
- et le canada, c'etait comment Tango ?
- Nicko › Envoyez un message privé àNicko
- voilà, c'est changé...
- pokemonslaughter › Envoyez un message privé àpokemonslaughter
- ah oui sinon j'ai pas dit que ca ressemblait à empyrium, seulement que ca m'y faisait penser parfois.. ebony tears me semble plus proche...
- pokemonslaughter › Envoyez un message privé àpokemonslaughter
- exact le cd est sorti en 2002.. plantage à la saisie...
- Darkanar › Envoyez un message privé àDarkanar
- Un album plutôt sympathique, qui lorgne parfois/souvent du côté de Children of Bodom ou d'un Dark Tranquillity époque "The Gallery". Je trouve que tu en donnes une image un peu trop calme et folklorique; le principal chant reste le hurlement black-death, et ça dépote grave plus que le Empyrium de "Songs of Moors and misty Fields", pas grand chose à voir entre les deux groupes en définitive. Par contre, ce n'est en rien une nouveauté; j'en possède une copie depuis plus de deux ans.
- Note donnée au disque :