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Lustmord › Metavoid

  • 2001 • Nextera ERA 2008-2 • 1 CD

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allobroge      mercredi 18 septembre 2019 - 20:55
MaxwellsDemon      lundi 1 mars 2010 - 20:14
shinjuku thief      mercredi 26 août 2009 - 10:28
systema      samedi 26 août 2006 - 20:28
Son Of Sulphur      vendredi 21 avril 2006 - 23:48
Hallu      jeudi 24 mars 2005 - 23:20
Ultimex      vendredi 13 mai 2022 - 20:37
Dead26      mardi 18 octobre 2016 - 16:03
edwood.zero      dimanche 20 janvier 2008 - 18:14
nicola      samedi 14 juillet 2007 - 06:57
taliesin      mercredi 28 février 2007 - 18:28
Shelleyan      mercredi 15 décembre 2004 - 00:03
GrahamBondSwing      mardi 20 juillet 2021 - 21:05
blub      jeudi 26 mai 2016 - 03:28
cyprine      samedi 14 juin 2008 - 15:54
Wotzenknecht      samedi 7 février 2009 - 19:03

cd • 8 titres • 63:40 min

  • 1The ambivalent abyss12:12
  • 2Blood deep in dread07:53
  • 3The eliminating angel11:44
  • 4Oblivion06:35
  • 5The outer shadow06:44
  • 6Infinite domain08:26
  • 7A light that is darkness04:52
  • 8Insignificance04:55

extraits audio

informations

Enregistré par Brian Williams, Usa, 2000-2001

line up

Brian Williams (tous instruments)

Musiciens additionnels : Steve Roach (2)

chronique

  • dark ambient apocalyptique

Lustmord aura mis 7 ans à sortir le successeur du fabuleux 'The place where the black stars hang'. Hormis un maxi et le split avec le projet Metal Beast, on peut dire que l'abstinence des fans fut plutôt dure. Alors quand le maître nous pond un miracle comme ce 'Metavoid', on ne peut que se réjouir de voir que l'inspiration ne l'a pas quitté d'une once. L'anglais exilé aux Usa ose même le pari de l'évolution ou tout du moins d'un changement significatif dans son approche musicale. En effet, si les œuvres précédentes apparaissaient comme des bandes-sons effrayantes et traumatisantes, ce nouvel album est peut-être l'aboutissement de Lustmord en matière d'ambiances cinématographiques. De même l'incorporation d'éléments peu commun dans l'univers de Brian Williams, à savoir des séquences ethniques et sacrées plus marquées (sons orientaux, africains, chants grégoriens plus présents), donne une consistance toute particulière à ce 'Metavoid'. Dark ambient malsaine et terrifiante ('The ambivalent abyss'), envolées lyrico-cinématographiques donc ('Blood deep dread', 'A light that is darkness')) voire carrément épiques et martiales sur l'excellentissime 'The eliminating angel' et le plus tribal 'Infinite domain'. Loin de se répéter et de décliner à n'en plus finir les canons du genre, Lustmord se renouvelle avec brio, et ce 'Metavoid' prouve à tous qu'il est le plus grand.

note       Publiée le lundi 13 décembre 2004

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Note moyenne        16 votes

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kama Envoyez un message privé àkama

Définitivement un des meilleurs, même si le terme "dark ambiant apocalyptique" est bien galvaudé. Le plus mélodique des Lustmord, le coté ciné fait des merveilles...

GrahamBondSwing Envoyez un message privé àGrahamBondSwing

Je viens de lire une interview dans laquelle Lustmord raconte son experience de Sound Designer/Score composer à Hollywood et il raconte les échanges qu'il avait avec les réalisateurs :

"-Réal- Tu peux me faire un truc dark ?

-Lustmord- Dark ? Hum... tu veux dire quoi exactement par Dark ?"

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Shelleyan Envoyez un message privé àShelleyan
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le cd d'ARECIBO est vraiment magnifique, j'espère le chroniquer prochainement

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Wotzenknecht Envoyez un message privé àWotzenknecht
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beuh, je n'avais plus trop de souvenirs de celui-ci à part l'énorme intro de The Eliminating Angel, j'aurai mieux fait de ne pas rafraichir ma mémoire

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mangetout Envoyez un message privé àmangetout
Je m'adressais aux adultes (chroniqueurs qui plus est) !