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Enablers › End note
- 2004 • Neurot recordings NR031 • 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
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Thirdeye | dimanche 9 avril 2023 - 05:33 | |
Chris | mardi 30 novembre 2021 - 14:41 | |
yeti | mardi 24 octobre 2006 - 12:04 | |
__Fantomas__ | dimanche 13 août 2006 - 14:30 | |
mafucage | jeudi 13 juillet 2006 - 20:45 | |
stickgrozeil | mardi 23 août 2022 - 15:06 | |
zbr | lundi 5 février 2007 - 00:21 |
cd • 9 titres • 36:46 min
- 1Glimpses, audio : driving late
- 2Pauly’s days in cinema
- 3And last night ?
- 4End note
- 5Joe
- 6A not so pretty sight in stienbeck country
- 7Manly
- 8The record
- 9George’s skies
informations
Enregistré live par Tim Mooney, Joe Goldring et Glynn Durham au studio Closer Recording, janvier 2003
line up
Yuma Joe Byrnes (batterie), Kevin Thomson (guitare), Joe Goldring (guitare, hammond), Pete Simonelli (narration)
chronique
- indie rock narratif
Enablers c'est quatre gars de San Francisco, des vieux de la vieille de la scène rock américaine qu'on l'on a pû déjà rencontrer chez les Swans, Toiling Midgets et quelques autres groupes encore. Parmi eux, Joe Goldring s'est pour sa part illustré aux côtés de Steve Von Till sur le dernier album solo en date de celui-ci, le magnifique "If I should fall to the field". Voilà pour les présentations. Avec ce premier album d'Enablers on touche à un genre musical peu commun reposant sur l'utilisation de la narration comme seule expression vocale. Pete Simonelli, le narrateur, est en réalité un poête qui écrit et publie des textes depuis des années dans les revues spécialisées américaines. Intégrer Enablers lui permet de nous raconter neuf de ses histoires, neuf textes lentement égrénés d'une voix monocorde, accompagnés par un environnement musical rock indé assez inspiré, pour peu que l'on prenne le temps de bien apprivoiser le disque. Car c'est là la difficulté de ce genre de disque : il faut parvenir à rentrer dedans, et il faut dire que le parti pris du "tout narratif" n'aide pas au départ. Mais une fois l'impression première de platitude dépassée, on prend pas mal de plaisir à écouter "End note", car musicalement ça tient vraiment la route, avec quelques montées en puissance rageuses, d'autres passages tout en subtilité et en finesse. Bref ce disque c'est plutôt une bonne surprise, qui s'appréciera d'autant mieux si l'on maîtrise la langue de Shakespeare.
note Publiée le lundi 29 novembre 2004
Dans le même esprit, Chris vous recommande...
Oxbow
Serenade in red
En mode brutal et plaintif !
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Note moyenne 7 votes
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commentaires
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- Thirdeye › Envoyez un message privé àThirdeye
La machine à souvenirs est en marche...
- Note donnée au disque :
- stickgrozeil › Envoyez un message privé àstickgrozeil
Allez, on se remet le groupe dans les oreilles pour la tournée européenne (et française) à venir très prochainement...
- Note donnée au disque :
- Chris › Envoyez un message privé àChris
Ca faisait longtemps que je ne me l'était pas envoyé celui là... Vraiment excellent, je l'apprécie encore plus maintenant qu'à l'époque de ça sortie, et j'ajoute donc logiquement une boulette à la note ! Faudrait que j'écoute les autres trucs qu'ils ont pondu...
Message édité le 30-11-2021 à 14:42 par chris
- Note donnée au disque :
- dariev stands › Envoyez un message privé àdariev stands
En concert ce soir à Nantes au Chien Stupide, pour ceux que ça intéresse. Allez-y, c'est excellent (et le dernier album est sans doute leur meilleur)
- Møjo › Envoyez un message privé àMøjo
Loin d'être passionnant comme disque, me fait beaucoup pensant à un Diabologum dernière période sans le côté désabusé et extrême, soit un peu trop contenu pour que mon intérêt reste soutenu de bout en bout (bien qu'à n'en pas douter je risquerais de le trouver génial dans un autre contexte d'écoute). Bref, tout ça pour dire qu'à l'opposé, sur scène ce groupe est absolument jouissif, rock'n'roll, débordant d'humour pincé, feutré quand il le faut et a contrario sachant se perdre dans boucan de tous les diables lors des explosions. Le chanteur, une espèce de poète alcoolique maigre comme un clou et d'un charisme extraordinaire y est sans aucun doute pour beaucoup, dans la classe du groupe.