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Enregistré aux Criteria Studios à Miami
Geezer Butler (basse), Tony Iommi (guitares), Ozzy Osbourne (chant), Bill Ward (batterie, chant sur le titre 3)
Voici l'album du changement. Après six premières galettes qui font toutes parties des pierres angulaires du metal, ce "Technical ecstasy" est beaucoup plus diversifié et franchement moins sombre. Pour beaucoup, cet album marque le vrai début du déclin du groupe de la formation de Birmingham. Pas encore pour moi ! Bien que l'ambiance soit vraiment différentes des premiers albums, le talent des 4 anglais est toujours là et des titres comme "You won't change me", "Dirty women" ou "Gypsy" sont magnifiques. Même les morceaux comme "She's gone", avec de somptueux violons", ou le très joyeux, lent et surprenant "It's alright", chanté par Bill Ward (!!!), restent pour moi d'énormes titres, pleins de légèreté ! Les solos de Tony sont encore plus exceptionnels (notamment sur "You won't change me" et "Dirty women") et cet "Technical ecstasy" représente pour moi un excellent album de Black Sabbath, plus marqué par la diversité que par l'ambiance, mais toujours d'une très grande qualité. La suite ne le sera pas tout autant.
note Publiée le samedi 20 octobre 2001
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mauvais... tres mauvais de la musique a la pochete, ils auraient mieux fait de mourir avant
J'ai du mal à ne pas trouver bon un disque du SABB jusqu'au départ de DIO et même un peu après, celui-ci est excellent.
Le passage d'un morceau hyper triste comme "You Won't Change Me" à "It's Alright" fait vraiment bizarre.
Là où leur son a commençer à prendre une autre tournure
Dirty Women, grand morceau, nasillard, insidieux. Black Sab' cherchait déjà à employer les synthés kitsch sur Sabbath Bloody Sabbath si on regarde bien, c'est après 72 qu'ils ont vraiment commencé à suivre la mode à laquelle tous les grands groupes hard rock et prog de l'époque finiront tôt ou tard par succomber (celle des synthés édulcorants); du hard FM naissant pour dire autrement, et à ajouter du sucre dans leur son occulte, Sabotage faisait déjà bien gloubi-boulga avec son tube hideux ses chants de tsar au milieu de morceaux à gros riffs qui tuent, et la grosse influence du progressif. Technical c'est un peu l'aboutissement de cette évolution, une sorte de climax mal-aimé; le + varié et coloré de leurs disques avec le précédent, le plus étrange aussi.