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Dive › Snakedressed

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Aiwass      lundi 5 novembre 2007 - 19:42
Karamazov      dimanche 31 juillet 2011 - 18:35

cd • 10 titres • 43:10 min

  • 1Snakedressed04:20
  • 2Growing deep inside03:39
  • 3Where are you ?03:30
  • 4Machinegun baby04:05
  • 5Weeping in the dark04:33
  • 6Bloodshot eyes03:44
  • 7Throw myself away02:52
  • 8Dark room04:08
  • 9I was there05:04
  • 10Sufferhead04:05

extraits audio

informations

Enregistré en Belgique, 1997

line up

Dirk Ivens, Ivan Iusco

chronique

  • electro-dark froide et minimaliste

Snakedressed arrive à point nommé pour remettre Dive sur les rangs. Après une parenthèse plus 'expérimentale' et entièrement instrumentale avec 'Grinding walls' en 1995, une b.o. pour un film indépendant, un maxi-split avec Kirlian Camera ('Obsession', reprise d'un titre de Klinik) et enfin le mini de remixe 'Reported' en 1996, il était temps qu'un véritable album de Dive voit le jour. Car Dirk Ivens n'est jamais autant à l'aise que dans son style de prédilection à savoir une electro mécanique et froide où les leitmotives musicaux et la voix presque chuchotante se répètent jusqu'à provoquer une hypnose totale. Froid et mécanique, 'Snakedressed' l'est sans aucun doute, mais le belge instille ça et là une saveur toute mélodique à ses boucles industrielles comme en atteste le magnifique 'Weeping in the dark' sur lequel la mélodie et les nappes atmosphériques créent une sensation de malaise et de tristesse (oui oui, comme quoi...). 'Dark room' s'avère tout aussi mélodieux, les basses analogiques lui conférant un statut de 'tube' electro-dark souvent joué en soirée. 'Machigun baby' ou 'Throw myself away' sont de bons exemples de la mécanique froide et bien huilée qu'est Dive, martelant sans répit les conduits auditifs. Idem pour le superbe 'Sufferhead', identique d'un bout à l'autre mais difficile à effacer de son esprit tant la dynamique est prenante. L'ambient minimaliste de 'I was there' développe une fois de plus la thématique paranoïaque et inquiétante de Dive, regardez derrière vous on n'est jamais trop prudent...Un album de très haute qualité, difficile à apprivoiser de par ce cocktail froideur/mélodie, mais en rien décevant !

note       Publiée le lundi 15 novembre 2004

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    Aiwass Envoyez un message privé àAiwass
    "pas mal" ???? tes souvenirs sont flous mon brave, fais moi plaisir et réécoute le moi ! quand à moi je vais me faire Concrete Jungle pour palier ce manque, en fait c'est cool de se faire la carrière de Dirk en chrono inversée, dans un sens ça permet de remonter aux origines du mal, indiana jones style. (donc je terminerai par Klinik).
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    juj Envoyez un message privé àjuj
    weeping et i was there, hmmmm ... Dirk au sommet ; i was there est pas mal non plus, à ce que je me rappelle
    Aiwass Envoyez un message privé àAiwass
    En fait, ce que j'voulais dire aussi, c'est que moins Dirk en fait, plus il est flippant. Par exemple 'I was there', c'est le titre le plus minimaliste du skeud et c'est ça qui contribue à le rendre puissant je trouve, le trip, la lobotomie, le petit plus paranoïde quoi.
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    Aiwass Envoyez un message privé àAiwass
    J'ai tellement trippé sur "I Was There" (en boucle seule pendant plus d'une heure ce matin par ex) et ce titre est tellement flippant et flippé que je pourrai pas mettre moins de 5/6 à ce disque. Le reste est excellent, à part "Dark Room" qui fait décidemment tache et que j'ai supporté au début, désormais je la zappe sans regrets. "Weeping" et ses mouettes parasites + sa mélodie d'enfant parricide est aussi un grand moment. Dans l'ensemble le disque est moins sombre et torturé que True Lies, les beats sont plus légers, le son moins massif, mais les boucles lobotomisantes sont ultimes.
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    Aiwass Envoyez un message privé àAiwass
    En un mot: terrible. Il y'a peut être un ou deux titres qui m'atteignent pas encore, mais ce qui est sûr c'est que 1. "Weeping" est une perle effectivement, mais chaque titre a sa personnalité comme sur True Lies. 2. Dive pète la gueule à VNV, Suicide Commando et consort sans problème question feeling dancefloor electro-dark que sais-je (quoique le terme dancefloor me semble quelque peu déplacer, mais bon). Avis à suivre quand j'aurais bien saisi la créature.
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