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Geezer Butler (basse), Tony Iommi (guiatres), Ozzy Osbourne (chant), Bill Ward (batterie)
Musiciens additionnels : Rick Wakeman (claviers)
Ce cinquième album est très difficile à cerner. Black Sabbath a décidé ici d'expérimenter. A l'image de ce qu'ils ont fait sur leur premier album, ils n'hésitent pas à inclure au milieu des morceaux des parties avec guitares séches et autres gros changements de rythmes. Les morceaux en deviennent plus complexes, donc il faut de ce fait beaucoup d'écoutes pour vraiment bien comprendre cet album. La voix d'Ozzy est ici particulièrement envoutante, les riffs sont toujours aussi excellents (Comment Tony fait-il pour toujours trouver ces riffs qui tuent ???), mais les changements de rythmes et les différentes parties peuvent en dérouter plus d'un. Des titres comme "Who are you ?" ou "Sabbra cadabra", bien que bons, sont vraiment très atypiques pour Black Sabbath, avec des synthés très présents. D'ailleurs, il faut signaler qu'il s'agit du fameux Rick Wakeman, de Yes, qui se colle derrière les claviers. Cependant, sur l'ensemble, l'album reste d'un très bon niveau général plus particulièrement avec des titres comme "Killing yourself to live" ou "Spiral architect" et ses magnifiques violons. Un album pas facile d'approche par rapport aux autres du Sab', mais il faut se rendre à l'évidence, encore une fois, ça fait mouche !
note Publiée le lundi 15 octobre 2001
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Celui-là, vu d'ici, est un peu comme un gros chat soyeux, subtil et ronronnant
Pour moi c'est justement le premier où la voix d'Ozzy commence à virer au foireux...
Amen
A chaque fois que je réécoute ce skeud, je ne peux m’empecher De déposer un com ici et là. Putain de 70’s et putain de Sabb. Parfaitement maîtrisé et toujours lourd, cet album est une des plus belles offrandes des années 70. C’est d’un classieux, Ozzy n’a jamais été aussi fabuleux. Il s’impose ici comme une des plus belles voix du rock, devant les deux autres monstres de l’époque Gillan et Plant, sans déc. L’intelligence dont les Britishs ont fait part dans leurs compos est bluffante. Prog, moui, pas tant que ça finalement, Sabbath s’enrichit mais garde toute son énergie et sa spontanéité. Le diptyque final est tellement superbe. Et mm Who Are You que je trouvais un pataude à ce petit qq chose de génial.
Putain de 70’s et putain de Sabb.
C'est celui-ci que je me suis envoyé hier soir. Complètement d'accord avec Aladdin, ce groupe était fabuleux. Les 6 premiers albums sont inamovibles.