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Beherit › Drawing down the moon

cd • 13 titres

  • 1Intro (Tireheb)
  • 2Solomon's Gate
  • 3Nocturnal Evil
  • 4Sodomatic Rites
  • 5Black Arts
  • 6The Gate of Nanna
  • 7Nuclear Girl
  • 8Unholy Pagan Fire
  • 9Down There...
  • 10Summerlands
  • 11Werewolf, Semen and Blood
  • 12Thou Angels of the Gods
  • 13Lord of Shadows and Goldenwood

informations

Enregistré au Studio Sound, Kuopio, Finlande d'avril à Septembre 1992

Il existe également une version sorti chez Jl America

line up

Nuclear Holocausto, Vengeance - guitars, vocals Black Jesus - bass guitar Necroperversor - drums

chronique

  • black metal

"The oath of black blood" posait les bases, "Werewolf semen and blood" assurait la continuité dans cette voie bestiale, "Drawing down the moon", lui, impose Beherit aux sommets d'un univers chaotique, violent, perturbant, occulte, sombre où la crasse omniprésente asphyxie et anéantit toute forme de vie. Cet album, que dis-je, ce monument de l'Art Sombre ravage tout sur son passage, laissant loin, très loin derrière lui un bon nombre de concurrents. Album pourtant méconnu par rapport à ce qu'il mériterait, peut être tout simplement parce que ce Beherit là n'est prêt à aucun compromis, tant au niveau de la composition que de la production. Il y a néanmoins une légère différence par rapport au premier album, à savoir des ralentissements plus pesants au milieu des morceaux, ajoutant sans aucun doute cette touche absolument dantesque qui en fait un chef d'oeuvre. Je pourrais être tenter de citer l'excellentissime "The gates of Nanna" comme le moment fort de "Drawing down the moon", mais je suis finalement plutôt attaché à affirmer que ce morceaux fait partie d'un tout indissociable tellement chaque seconde de cet opus nous délivre le meilleur du groupe. Des riffs incomparables, une voix résonnant tel un souffle destructeur, une ambiance absolument démente que quelques rares claviers viennent agrémenter d'une touche glaciale. On reste pris dans cette tornade pendant les 40 minutes qu'elle dure, subjugué à chaque instant, terrorisé et surtout marqué à jamais. A ce titre, "Drawing down the moon" me semble être la pièce maîtresse d'un groupe qui, à lui seul est devenu une institution, marquant au fer rouge la première moitié des années 90. Indispensable !

Chef-d'oeuvre
      
Publiée le vendredi 17 septembre 2004

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notes

Note moyenne        34 votes

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commentaires

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Dioneo Envoyez un message privé àDioneo
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En tout cas ils (Alastor) t'avaient inspiré de sublimes métaphores !! (Le coup des moules de bouchot à la crème je m'en remets pas, ah ah !)...

Message édité le 14-12-2023 à 21:10 par dioneo

Chris Envoyez un message privé àChris
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Dans la famille des pseudos pourris pas piqués des hannetons tu as ceux de Alastor aussi !

Demonaz Vikernes Envoyez un message privé àDemonaz Vikernes

Blasphemy tout de meme

Note donnée au disque :       
GrahamBondSwing Envoyez un message privé àGrahamBondSwing
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A bien y réfléchir, c'est bien le premier scud de black que j'ai écouté. Tombé directement sous le charme de toutes ces maladresses (inclus les pires pseudo d'artistes à ma connaissance).

Note donnée au disque :       
yog sothoth Envoyez un message privé àyog sothoth
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Je retiens 2 choses majeures de ce disque consécutivement à ma soirée d'hier... un, je ne comprendrai jamais l'engouement autour, et deux, ça n'est pas vraiment idéal comme fond sonore pour jouer au Scrabble...