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Don Caballero › What burns never returns

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Charogne80      vendredi 20 août 2021 - 15:04
pyosisified      jeudi 30 décembre 2010 - 20:12
Spektr      samedi 27 février 2010 - 19:09
Hutz      samedi 11 juillet 2009 - 20:25
blub      vendredi 14 mars 2008 - 01:47
Tom-Tom      vendredi 25 mai 2007 - 16:59
julayss      vendredi 30 mars 2007 - 01:32
juj      mardi 20 juin 2006 - 00:47
vampirenu      vendredi 11 novembre 2005 - 18:24
mroctobre      jeudi 31 mars 2005 - 15:17
Grim      mercredi 1 octobre 2003 - 23:09
Int      samedi 14 janvier 2023 - 20:47
torquemada      samedi 13 février 2010 - 10:55
GinSoakedBoy      lundi 27 avril 2009 - 22:39
Sigur_Langföl      vendredi 23 mai 2008 - 15:55
devin      mardi 3 juillet 2007 - 13:35
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Uriel      jeudi 14 avril 2005 - 21:52
gregdu62      lundi 4 mars 2024 - 13:24
Trimalcion      vendredi 4 décembre 2009 - 09:46
zbr      jeudi 25 janvier 2007 - 15:32
Dun23      lundi 31 juillet 2006 - 15:01
heirophant      mardi 20 juin 2006 - 00:42

cd • 8 titres • 47:23 min

  • 1Don Caballero 309:41
  • 2In the Absence of Strong Evidence to the Contrary, One May Step Out of the Way of the Charging Bull04:35
  • 3Delivering the Groceries at 138 Beats per Minute05:49
  • 4Slice Where You Live Like Pie05:09
  • 5Room Temperature Suite05:31
  • 6The World in Perforated Lines03:52
  • 7From the Desk of Elsewhere Go07:51
  • 8June is Finally Here04:55

informations

Enregistré en 1998 à Detroit. Produit par Al Sutton.

Avant le split du groupe, le guitariste Ian Williams avait monté le groupe Storm & Stress avec lequel il continue à se produire.

line up

Mike Banfield (guitare), Damon Che (batterie), Pattern Morris (basse), Ian Williams (guitare)

chronique

  • alternatif > math rock

Si les entrelacs hypnotiques de guitares sont une des caractéristiques qui vous rendent fou, si l'excès de décibels ne vous fait pas peur, je vous intime l'ordre de découvrir d'urgence Don Caballero ! Extrêmement puissant, extrêmement complexe, extrêmement extrême même, c'est à ma connaissance le seul groupe au monde où la partie rythmique est tenue par les guitares et la partie soliste par le batteur. Un son poisseux et une ambiance crasse viennent compléter le tableau d'un des chefs de file de la scène alternative de Chicago. Encore un progressif qui s'ignore (de par la structure de ses compositions et une parenté remise au goût du jour d'un King Crimson outrageusement carnassier), nous livrant ici son ultime album où le quatuor laisse transparaître à la fois toute sa puissance et toutes ses contradictions, avec son style d'écriture contrarié et contrariant, qui peut passer d'un vague à l'âme faussement dépressif à une crise de rage au bord de la rupture. "What Burns Never Returns" redémarre sur la rythmique qui avait déjà laissé livide ceux qui avaient résisté à la lobotomisation rédemptrice que constitue l'écoute de "2". Mais cet album a toutefois plus de retenue et ne verse pas systématiquement dans l'excès. Cela lui apporte une forme de concision et de maîtrise, sans pour autant constituer un frein à leur besoin de se faire violence ("Delivering the Groceries at 138 Beats per Minute", "The World in Perforated Lines"). Le grain de folie est toujours présent, même si quelque peu bridé par rapport à son prédécesseur. Cela n'empêche pas Don Caballero de compléter, par la publication de ce disque, un des chapitres du manifeste le plus inoubliable et le plus intense de la décennie.

note       Publiée le vendredi 28 septembre 2001

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Note moyenne        28 votes

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michel rocard Envoyez un message privé àmichel rocard

Euh le style de la baraque n'est pas vraiment dans l'urbanisme quasiment post-nuke du film mais ouais la couleur, je vois ce que tu veux dire. Le soleil et le vert, c'est tentant.

NevrOp4th Envoyez un message privé àNevrOp4th

Cette pochette me rappel le film Soleil Vert de Richard Fleischer, un film culte d'anticipation.

torquemada Envoyez un message privé àtorquemada

Malgré son titre, ce disque n'a pas l'incroyable incandescence de son prédécesseur mais reste touut de même hautement jouissif.

Note donnée au disque :       
The Gloth Envoyez un message privé àThe Gloth

Faudra que j'écoute ça, déjà la pochette me fait envie : ça me fait bizarrement penser à Lovecraft. Sinon, dans un autre genre, Mastodon en live c'est aussi le batteur soliste et les guitares qui tiennent la rythmique...

Sigur_Langföl Envoyez un message privé àSigur_Langföl
Ouais, au moins il n'y a pas de chant débile sur celui-là
Note donnée au disque :