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Motörhead › Inferno
- 2004 • Steamhammer SPV 087-69740 CD • 1 CD
cd • 12 titres
- 1Terminal show
- 2Killers
- 3In the name of tragedy
- 4Suicide
- 5Life's a bitch
- 6Down on me
- 7In the black
- 8Fight
- 9In the year of the wolf
- 10Keys to the kingdom
- 11Smiling like a killer
- 12Whorehouse blues
informations
Enregistré aux NRG, Paramount et Maple Studios
Steve Vai joue les solos de "Terminal show" et "Down on me". L'édition limitée propose un DVD avec les clips de 3 morceaux ("Brave new world", "Serial killer" et "We are Motörhead") ainsi qu'une interview du groupe et le making of de l'album "Inferno"
line up
Phil Campbell (Philip Campbell) (guitares), Mikkey Dee (batterie), Lemmy Kilmister (chant, basse, guitares, harmonica)
Musiciens additionnels : Steve Vai (guitares [1, 6]), Curtis Mathewson (cordes [10])
chronique
Depuis une dizaine d'années maintenant, Motörhead a pris l'habitude de sortir un album tous les 2 ans. C'est donc tout naturellement que l'on retrouve dans les bacs cet "Inferno" au début de cet été 2004. Pas de véritable révolution, la bande à Lemmy joue du bon vieux rock n' roll bien burné et je dois même dire que cette cuvée est bonne ! Ça commence d'ailleurs sur les chapeaux de roue avec 3 morceaux magistraux, "Terminal show", rappelant "Sacrifice" (gage d'excellente qualité) et possédant un solo de guitare monstrueux, ça enchaîne avec un "Killers"... qui porte bien son nom ! "In the name of tragedy" n'est pas non plus piqué des vers (et c'est pas Sheer-Khan qui va me contredire ici !!!). Bref, au moins on est rassuré, Motörhead est toujours bien vivant, puissant et intense ! On aurait pu craindre le contraire après le précédent album plutôt mitigé, "Hammered". Par la suite, le niveau est moins haut, c'est un peu moins intense, mais ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, ça vaut largement le coup. Comme le dit si bien Lemmy sur l'interview disponible sur le DVD de l'édition limitée, il ne s'agit que d'un nouvel album de Motörhead. Certes, mais là, il faut quand même ajouter que c'est du tout bon, pied au plancher, énergique et inspiré. Bref, il faut encore et toujours compter sur Motörhead, et ça, ça fait rudement (brutalement dirais-je même !) plaisir !!! Et ce n'est pas la présence de Steve Vai sur 2 morceaux (je vous ai déjà parlé du solo de "Terminal show"...) qui va baisser la note, bien au contraire !!! Du bon rock bien graisseux comme on l'aime !
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- zugal21 › Envoyez un message privé àzugal21
@ born to gulo : je suis très d'accord avec ça .
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- born to gulo › Envoyez un message privé àborn to gulo
Soyons précis : dans cette idée, ça fait même un peu plus que le metal. Ça botte le cul, sans le moindre soupçon de naïveté, ni du côté développement personnel de l'expression, ni du côté heroic fantasy et fuite métaphorique (metal).
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- zugal21 › Envoyez un message privé àzugal21
J'ai eu vent récemment d'un sondage. La question était de savoir pourquoi les sondés aimaient le Métal . La réponse était que le Métal aidait les gens à affronter les difficultés de la vie. Ayant une big facette Métal, je tombe en accord avec ça. Sinon, Motörhead, c'est pas du Métal. Mais leur tonicité, leur philosophie Kick Ass me fait, et même parfois mieux, l'effet de me tenir plus droit, et de faire face, et de tenir quand la vie se montre dure.
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- Demonaz Vikernes › Envoyez un message privé àDemonaz Vikernes
Une boule de plus, je devais être sourd quand je n'ai mis que 4. La dernière grosse tuerie avant un petit passage à vide.
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- Raven › Envoyez un message privé àRaven
Patator, ouais. "In the name of tragedy" irradie tellement de surpuissance, et "Worehouse blues" de classe à la Cash ("You know we ain't too good looking, but we are satisfied"), que j'ai longtemps gardé les autres morceaux en bouillie plaisante-sans-plus dans ma tête, et que j'ai fini par le laisser manger la poussière au profit des deux suivants. À tort. Il est charnu à souhait et juteux de graisses cuites, garni de piquants et qui te piétine mais à l'aise pour t'embarquer sur son dos de colosse ("Fight") façon Mad Max III... Bien massif et bien guerrier et en même temps moins austère que Sacrifice ou Orgasmatron. D'la balle.
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