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Aghora › Aghora

  • 1999 • Code666 003 • 1 CD digipack

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Lucy Dreams      dimanche 21 janvier 2007 - 12:56
lolokth      vendredi 14 mai 2004 - 17:03
absinthe_frelatée      dimanche 11 mai 2008 - 01:42
pyosisified      vendredi 13 janvier 2006 - 14:22
deathster666      vendredi 14 mai 2004 - 14:11
stickgrozeil      lundi 7 juin 2021 - 11:30
Fryer      dimanche 23 novembre 2008 - 18:00
Metallicum      jeudi 23 mars 2006 - 19:16
morgan      samedi 22 mai 2004 - 04:41
Progmonster      jeudi 13 mai 2004 - 16:30

cd • 9 titres

  • 1Immortal Bliss4:34
  • 2Satya5:52
  • 3Transfiguration5:11
  • 4Frames7:04
  • 5Mind's Reality4:16
  • 6Kali Yuga5:34
  • 7Jivatma11:17
  • 8Existence6:23
  • 9Anugraha4:40

informations

Studio M, Miami Dade Community College, Miami, Floride, USA, 1998

line up

Sean Reinert (batterie, tablas, percussions), Danishta Rivero (chant), Santiago Dobles (guitares, coral sithar, programmation), Charlie Ekendahl (guitare), Sean Malone (basse)

chronique

  • death metal > metal prog

On a peut-être mis le temps, mais on est comme ça sur Guts ; chose promise, chose dûe ! Après m'être attiré la foudre des internautes à la rédaction d'une chronique mitigée, avare en éloges, mais sincère, à l'égard du mythique album "Focus" des américains de Cynic, me voilà en train de caresser voluptueusement les touches de mon clavier pour m'atteler à la rédaction de celle d'Aghora, sa suite en quelque sorte. En fait, mis à part sa section rythmique, réquisitionnée pour l'occasion, Aghora n'a aucun rapport avec Cynic. C'est plutôt même une histoire de famille ; une formation née dans l'esprit du guitariste Santiago Dobles à laquelle il va adjoindre, outre les techniciens de "Focus", une seconde guitare en la personne du très effacé Charlie Ekendahl, et une voix féminine, celle de sa soeur, Danishita Rivero. La musique d'Aghora a pourtant les traits de ce death métal mélodique ultra technique que l'on avait pu apprécier à sa juste valeur sur le seul album de Cynic, mais ce sont dans les nuances, parfois de taille, que vont se situer toutes les différences qui rendront - en ce qui me concerne du moins - l'écoute de cet album-ci bien plus gratifiante. C'est une question de goût, et il y a fort à parier que les qualités que je vais énumérer seront précisément ce que leurs détracteurs leur reprocheront en premier. Il y a d'abord la voix, fort jolie, de Rivero. Bon, faut avouer qu'en début d'album, ça fait un peu tâche et que certains de ses exercices de soprano sur "Immortal Bliss" rebutent plus qu'ils ne séduisent. Mais la pilule une fois passée, l'oreille s'habitue vite à ce contraste intéressant face à une musique speed, rythmiquement complexe ("Transfiguration") et aux harmonies multiples ("Existence"). Pour les parties de guitares, Ekendhal a beau être là en soutien, c'est bien Doblès que l'on entend, et on entend que lui. Il multiplie les solii à la croisée d'un Steve Vai et d'un Alan Holdsworth, si pareille chose est possible. Il introduit une multitude de couleurs et de modulations qui, plus encore qu'avec Cynic, flirtent avec un rock expérimental, aventureux, progressif (ça y est, je l'ai dit) et qui enrichit grandement sa musique. Parfois même un peu trop. Et puis, bon, finalement, j'y viens ; il y a la paire Sean Malone (basse) et Sean Reinert (le Reinert qui tient les baguettes sur l'album "Human" de Death, histoire de situer...), absolument colossale. Tout cela est diablement maîtrisé mais manque tout de même un peu de feeling. Ceci dit, il y en a quand même nettement plus, à mon humble avis, que sur "Focus" et la diversité des ambiances que l'on trouve sur le disque (la longue plage instrumentale "Jivatma" annonçant les pérégrinations solitaires de Malone à suivre) rend l'expérience si pas essentielle en tout cas hautement recommandable.

note       Publiée le jeudi 13 mai 2004

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    stickgrozeil Envoyez un message privé àstickgrozeil

    Heureusement qu'il y a feu Sean Malone et ses lignes de basse pastoriennes. Pour le reste, ça se bat un peu contre des moulins à vents. La chanteuse est un peu crispante sur la longueur (mais moins que sur le deuxième album), y'a du gros son au niveau des guitares mais les idées ne sont pas toujours intéressantes. C'est pas mal, mais ça fait clairement pas partie des disques sur lesquels on revient chaque semaine.

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    Fryer Envoyez un message privé àFryer

    Bon c'est léger, atmosphérique, un peu rien a voir avec Cynic. La nana en fait un peu trop quand même. Les aiguës sont ptet un peu trop surfait 'fin ca passe encore. Et pis, cette basse, miam quoi :)

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    Fryer Envoyez un message privé àFryer
    Première écoute, je crois qu'il va beaucoup passer celui la... Et Formless, vous le trouvez meilleur ?
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    morgan Envoyez un message privé àmorgan
    bon album, apres avoir ecoute circle (je ne sais pas si il s agit de la meme chanteuse) j ai ete surprise et decue de constater que ce n etait pas du meme acabit par moment la voix de la chanteuse me porte un peu sur les nerfs, mais reste audible tout de meme les compos sont bien tournees
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    Hallu Envoyez un message privé àHallu
    @ nicko et prog : oui mais le truc c que pas mal de chroniqueurs ne chroniquent que des disques qu'ils ont aimés.