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Orphaned Land › Mabool - the story of the three sons of seven
- 2004 • Century media records 77452-0 • 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
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Serge | jeudi 28 juillet 2011 - 20:54 | |
akol | mercredi 10 octobre 2007 - 11:34 | |
Bashert | dimanche 25 mars 2007 - 15:27 | |
guyl | samedi 21 octobre 2006 - 20:12 | |
cimetiere | dimanche 24 septembre 2006 - 21:10 | |
geux05 | mercredi 10 mai 2006 - 19:20 | |
manulerider | jeudi 14 avril 2005 - 21:15 | |
blackorchid | samedi 30 octobre 2004 - 23:50 | |
[nothing] | mercredi 18 août 2004 - 16:11 | |
archeron | jeudi 1 juillet 2004 - 16:32 | |
Zbider-Mane | dimanche 27 juin 2004 - 15:40 | |
madpig | samedi 12 juin 2004 - 15:47 | |
solarfall | jeudi 15 avril 2004 - 16:23 | |
KirKor | lundi 12 avril 2004 - 23:04 | |
kama | lundi 12 avril 2004 - 13:39 | |
Yog Sothoth | dimanche 25 février 2024 - 17:55 | |
stickgrozeil | mercredi 7 septembre 2022 - 07:47 | |
Eliphas | mercredi 24 juin 2015 - 20:11 | |
Seijitsu | dimanche 18 avril 2010 - 11:43 | |
Nokturnus | mercredi 28 novembre 2007 - 18:22 | |
Everlasting | mercredi 28 novembre 2007 - 18:03 | |
Ignus | jeudi 31 août 2006 - 14:22 | |
devin | jeudi 24 août 2006 - 13:17 | |
Vicious.666 | lundi 2 janvier 2006 - 14:13 | |
sergent_BUCK | mercredi 21 septembre 2005 - 01:54 | |
Galhaeren | jeudi 3 juin 2004 - 14:25 | |
Sheer-khan | dimanche 9 mai 2004 - 20:18 | |
tilo | vendredi 23 avril 2004 - 17:15 | |
zugal21 | lundi 22 janvier 2024 - 20:01 | |
Richter | dimanche 18 avril 2010 - 10:01 | |
looney tool | mercredi 25 janvier 2006 - 23:42 | |
érèbe | mercredi 26 octobre 2005 - 15:39 | |
Int | vendredi 27 mai 2011 - 18:10 | |
Pohjola76 | mercredi 24 août 2005 - 21:22 | |
Kurgan | dimanche 9 mai 2004 - 19:28 | |
Nerval | jeudi 28 juillet 2011 - 13:07 |
12 titres - 68:04 min
- 1/ Birth of the three (the unification)
- 2/ Ocean land (the revelation)
- 3/ The kiss of babylon (the sins)
- 4/ A'salk
- 5/ Halo dies (the wrath of god)
- 6/ A call to awake (the quest)
- 7/ Building the ark
- 8/ Norra el norra (entering the ark)
- 9/ The calm before the flood
- 10/ Mabool (the flood)
- 11/ The
- storm still rages inside
- 12/ Rainbow (the resurrection)
informations
Enregistré entre juillet et octobre 2003 aux studios "Zaza" et "Bardo". Ingénieur : Erez Caspi. Mixé par Simon Vinestock et Orphaned Land. Produit par Orphaned Land.
line up
Kobi Farhi (Vocaux, choeurs, growls, chants et lectures); Yossi Sassi (guitares, saz, buzuki, oud); Matti Svatizki (guitares); Uri Zelcha (basses); Eden Rabin (synthés, piano) - sessions : Avi Daimond (batterie); Avi Agababa (percussions); Shlomit Levi (chants féminins); Oren Koren (violon); Noam Wiesenberg (violoncelle)
chronique
- metal oriental
Une véritable pièce d'orfèvrerie, ouvragée et affinée durant 8 longues années; une somptueuse tapisserie de fils d'or, d'argent, incrustée de diamant, rubis, améthyste et rose des vents; on pourra dire que je l'ai rêvé, entre l'éblouissement émerveillé d'un "Sahara" et le respect qu'imposait "El Norra..."; bien au-delà du désert se propage la rumeur qu'Orphaned Land vient de donner naissance à un gigantesque monument. L'œuvre à la main, je me suis rendu dans la province de Violent'Soh Luh~Sion en quête de Sheik Uriel "à qui rien n'échappe". L'oracle était sorti, mais il y avait là sur sa table tendue de cuir dessous la tente bédouine une liste maudite... : "La finition de l’enrobage épique trahit de menues incongruités... certains enchaînements mélodiques un rien téléphonés... Orphaned Land se sont laissés porter à bon escient par l’instinct de la beauté immédiate...on serait peut-être en droit d’attendre [...] davantage de flamboyance ou au moins un indice plus tangible du climat d’apocalypse ...". Oui, la précieuse vision de Sheik Uriel s'accordait à la mienne : "Mabool" récolte incontestablement les fruits du temps qui lui fût nécessaire, et pourtant... je sortis de la tente et m'engageai à nouveau sous le soleil Mabool. Il s'agit de metal magnifique, heavy et mélodique, puisant aux sources de la musique orientale jusque dans le détail fascinant de ses somptueux arrangements. Une voix death, des lignes de chants claires toutes superbes, des chœurs magistralement équilibrés, des lectures graves et une sirène, une omniprésence tout simplement exceptionnelle des sonorités traditionnelles de l'oud, des percussions et autres merveilles sahariennes, une maîtrise absolument extraordinaire des enchaînements, une inspiration sans faille et une constance inespérée de la qualité mélodique, des soli de guitares sublimes... le tout muselé par une production techniquement impeccable mais tristement conventionnelle. Des guitares en ce sens un peu retenues, qui enfoncent le clou de quelques leads cucul, qui persistent et signent l'acte de disparition de la noirceur et de la violence chez Orphaned Land, au profit de la joliesse ou de l'épanouissement épique. Quel spectacle pourtant... quels cieux, quelle beauté que ces champs de sable sous les nuages, que ces courses de cavaliers, cimetières à la main, que ces incroyables oasis acoustiques et délicats aux détails miraculeux... des yallas traditionnels, des guitares parfaites, une richesse et une pluralité stupéfiantes et totalement apprivoisées... oui, quel périple, quel ouvrage! Face à une telle prouesse le jugement devient forcément impitoyable, le besoin plus dévorant, il y a tellement de grand que l'on refuse même le bon... et sous tant de lumière éclatante, on se prend à vouloir que la nuit tombe un peu, on réclame les ténèbres. On en veut à Kobi Farhi qui chante désormais avec une parfaite justesse des lignes toutes plus belles les unes que les autres de ne pas avoir une voix d'exception, d'être frêle et sans ampleur... on en veut à Chris et à ce système de notation car entre l'exceptionnel et le suffisant, on se trouve face à un cas typique de 5,5/6. J'ai repris les mêmes chemins, tourné au creux des mêmes dunes et je m'en suis retourné à la tente de Sheik Uriel, perdu et désolé. Dans la pénombre étouffante de son repaire, Sheik Uriel se tenait, de retour du pays orphelin. Dans son langage typique il m'a confié ceci: "Une fois la balance épurée du pour et du contre, ou plutôt du « j’adore » et du « j’aime moins », (héhé, me suis-je dit alors...) mieux vaut refermer en douceur le beau livre des bilans et retourner se rendre « Mabool » avec ce disque". Nous le savions déjà et l'épreuve le confirme : des trois fils Sheik Uriel est le troisième : Lion Wisdom...
note Publiée le lundi 12 avril 2004
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- zugal21 › Envoyez un message privé àzugal21
Première écoute. Putain, j'ai rien compris. C'est bon signe.
- Note donnée au disque :
- Eliphas › Envoyez un message privé àEliphas
Le progressif encore plus quand il est teinté metal, c'est compliqué tellement c'est évident. C'est démonstratif, techniquement, émotionnellement, mélodiquement et quand c'est bien fait (comme ici) c'est un peu un arc-en-ciel, voir un double rainbow, oh my god! Tout le monde aime les arcs-en-ciel, même les plus sombres d'entre vous!
- Note donnée au disque :
- ericbaisons › Envoyez un message privé àericbaisons
Emma est 100 fois plus belle
- NevrOp4th › Envoyez un message privé àNevrOp4th
ha ha saimone, comment le morceau m'a refroidis soudainement ^^ bon, disons que j'ai bien apprécié en live. C'était entrainant voilà tout.
- The Gloth › Envoyez un message privé àThe Gloth
Je ne sens pas trop la danse du ventre et les loukoums chez Absu, plutôt un genre Kreator en plus celtique...
Totalement génial, cela dit. Le best of/rarities "Mythological Occult Metal" vaut largement la peine.