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Pitchshifter › Submit
- 1992 • Earache records MOSH 66 • 1 LP 33 tours
- 1992 • Earache records MOSH 66 CD • 1 CD
- 1992 • Relativity records 88561-1126-2 • 1 CD
cd • 6 titres • 57:03 min
- 1Gritter (version)04:04
- 2Deconstruction03:56
- 3New flesh P.S.I (re-mix version)05:18
- 4Bastardiser (re-mix version)03:46
- 5Dry riser inlet (version)04:19
- 6Tendrill (version)/Silo35:35
informations
Enregistré au Bandwagon Studios, Angleterre, août 1991 - janvier 1992
line up
M.D. Clayden (basse), J.A. Carter (guitare solo), S.E. Toolin (guitare), J.S. Clayden (chant, visuels)
chronique
Si 'Industrial', premier album des anglais sorti chez Peaceville, était un peu trop linéaire et trop inspiré du Godflesh des débuts, 'Submit' se démarque et esquisse de façon plus précise le style Pitch Shifter : un metal industriel lourd sans concessions, atmosphérique par endroits (le très lourd et malsain 'New flesh P.S.I.') et dans tous les cas efficace ! P.S. marque sa différence avec Godflesh en proposant des tempos plus rapide et peut-être plus variés (du moins à l'époque) : cette accessibilité loin d'être un défaut se trouve renforcée par une attaque directe et brute qui donne lieu aux monstrueux 'Deconstruction' (rapide, lourd et prenant !) ou à l'excellent 'Dry riser inlet' (lourd et aérien). Bien sûr les influences du duo de Birmingham ne sont pas totalement absentes, mais on pense parfois à un Napalm death période death-metal pour le chant et la structure de certains morceaux ('Gritter', 'Bastardiser'). Un plus pour le style P.S., des mélodies dissonantes (en rétension de cordes pour la guitare, un peu comme Godflesh encore !) qui participent à cet aspect atmosphérique que l'on retrouvera dans la suite de l'oeuvre. Ajoutez à cela une ambiance paranoïaque critique avec des thèmes récurrents tels que la manipulation mentale, une critique des medias (très axé 'Big Brother is watching you') et tout un tas de sujets des plus réjouissants. Du très très bon tout ça !!!
note Publiée le vendredi 19 mars 2004
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- mangetout › Envoyez un message privé àmangetout
Pour une fois je suis d'accord avec le gulo, même sur les premiers Godflesh, ici ou là, le rythme s'accélère (cf "Weak flesh" sur le premier album ou "Mighty trust crusher" sur "Streetcleaner") alors certes ce n'est pas de la drum & bass détendue du slip, l'atmosphère apocalyptique est encore lourdement présente, mais il ne faut pas réduire le groupe de Broadrick uniquement à une course d'éléphants obèses. Ceci étant dit ce deuxième Pitchshifter s'apprécie savoureusement comme le travail d'un élève attentionné et respectueux du groupe pré-cité.
- vargounet › Envoyez un message privé àvargounet
Pas totalement d'accord avec la chronique (même si dans le fond si...), cet ep est bien cool mais a justement beaucoup moins d'identité que Industrial, qui donne cette impression de linéarité justement parce que la prod est beaucoup plus raw et étouffée ... Ici la prod est bien plus claire mais l'aspect malsain passe à la trappe pour quelque chose de plus conquérant. Reste que les premiers Pitchshifter c'est quelque chose de vraiment puissant, qui peut emporter l'unanimité de tout fan de Godflesh qui se respecte. Enfin bref, très bon ep mais Industrial touche parfois au génie, si on enlève l'influ Godflesh.
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- Fryer › Envoyez un message privé àFryer
love & hate pour le zouk
- born to gulo › Envoyez un message privé àborn to gulo
slavestate et pure, la dance et le funk
- Note donnée au disque :
- Wotzenknecht › Envoyez un message privé àWotzenknecht
dis-moi lequel je dois mettre alors, parmi streetcleaner, pure, selfless, love&hate, love&hat dub, hymns, slavestate, us&them pour regretter d'avoir dit de la merde
- Note donnée au disque :