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The Clash › The Clash

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Alfred le Pingouin      mardi 3 juin 2014 - 20:12
AlXX      jeudi 27 mars 2014 - 21:59
Solvant      mercredi 8 décembre 2010 - 19:28
Crimson      mercredi 19 juillet 2006 - 16:31
Macbeth      mardi 7 mars 2006 - 17:21
Trimalcion      mardi 29 juin 2004 - 14:12
Thirdeye      samedi 4 mars 2023 - 15:03
asharak      samedi 18 février 2023 - 20:45
GrahamBondSwing      samedi 18 février 2023 - 14:05
Int      lundi 16 janvier 2023 - 17:24
Milo      mardi 8 mars 2022 - 17:40
Klozer      vendredi 18 décembre 2020 - 16:08
louis      jeudi 15 septembre 2016 - 11:12
Valer Daviep      jeudi 19 janvier 2012 - 00:36
Eliphas      mercredi 8 décembre 2010 - 12:01
NevrOp4th      mardi 24 août 2010 - 10:06
Canicheslayer      dimanche 25 avril 2010 - 16:43
Seijitsu      lundi 11 janvier 2010 - 21:49
Grandgousier      vendredi 27 mars 2009 - 00:17
zugal21      samedi 10 septembre 2022 - 21:33
Ultimex      mardi 24 mai 2022 - 10:26
mroctobre      jeudi 9 mars 2006 - 15:54

cd • 14 titres

  • 1Janie Jones
  • 2Remote control
  • 3I'm so bored with the USA
  • 4White riot
  • 5Hate and war
  • 6What's my name
  • 7Deny
  • 8London's burning
  • 9Career opportunities
  • 10Cheat
  • 11Protex blue
  • 12Police and thieves
  • 1348 hours
  • 14Garageland

informations

édition digipack remasterisée

line up

Joe Strummer (chant, guitare), Mick Jones (guitare, chant), Paul Simonon (guitare), Tory Crimes (batterie)

chronique

  • old school punk rock

Londres 77, explosion punk, premier album d'un groupe qui allait devenir une légende. Effectivement après écoute, on réalise vite que le punk rock des Clash n'a rien à voir avec l'attitude plus bordélique des Sex Pistols. Qu'ils le veuillent ou non, Joe Strummer et ses complices sont déjà marqués des stigmates du rock et cela s'entend dans leur façon de composer. La rage est là, une colère face à l'état de société de l'Angleterre qui se traduit par des textes concernées et engagés qui ne se limitent pas au 'No future' de l'époque. Musicalement par contre, les sons sont moins sales, moins saturés que ceux d'autres formations, mais l'énergie et la conviction sont bien présentes. On sent déjà également la volonté de ne pas se limiter, les Clash font une reprise rock d'un titre reggae, 'Police and thieves', ajoutent un harmonica mélancolique sur 'Garageland'... L'autre élément qui se dégage de ce premier album c'est la capacité du groupe à écrire de véritables mélodies, de celles qui vous trottent dans la tête ('White riot', 'Career opportunities', London's burning', 'Garageland') et c'est sans surprise que l'on verra plusieurs chansons devenir des classiques. Sans qu'on ait pu en être forcément très sûr à l'époque, nul doute que pas mal de gens ont dû sentir que ces Clash-là ne seraient pas un groupe punk comme les autres...ce que l'histoire a clairement démontré.

note       Publiée le jeudi 4 mars 2004

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Note moyenne        22 votes

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Eliphas Envoyez un message privé àEliphas

Pareil que Crimson pour la version. Ici, je trouve la production un peu faiblarde néanmoins, on voit déjà que les Clash sont bien meilleurs qu'une bande de branleur estampillé punk à la même époque (je vous laisse deviner)

Note donnée au disque :       
Crimson Envoyez un message privé àCrimson
Je possède la version USA ,sans "protex blue", "deny", "cheat" et "48 hours", mais avec, à la place, "I fought the law", "(white man) in hammersmith palais", "comlete control", "clash city rockers" et "jail guitar doors"...43 minutes au compteur, au lieu des 35, mais l'ordre et le tracklist différent change toute la donne, c'est moins fort que la version UK, la vraie, celle du site...
Note donnée au disque :       
Jason Shithead Envoyez un message privé àJason Shithead
Enfin!!! Depuis le temps que ces chroniques de The Clash manquaient ! Un grand classique du rock sinon