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Ion Dissonance › Breathing is irrelevant

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Membre Note Date
blub      mardi 15 avril 2008 - 17:24
Son Of Sulphur      samedi 15 septembre 2007 - 21:28
Tom-Tom      vendredi 25 mai 2007 - 16:48
lägg      samedi 4 juin 2005 - 16:03
Antropophage      vendredi 17 décembre 2004 - 13:27
SIKTH      dimanche 7 novembre 2004 - 14:57
EyeLovya      dimanche 21 mai 2023 - 13:56
Klozer      mercredi 14 septembre 2022 - 23:25
kama      samedi 5 août 2017 - 16:04
Saïmone      vendredi 11 février 2011 - 14:31
Painkiller      lundi 28 avril 2008 - 00:31
cyprine      samedi 5 janvier 2008 - 12:09
Manumal      vendredi 12 janvier 2007 - 22:44
nicliot      jeudi 30 novembre 2006 - 21:02
Eliphas      jeudi 16 juin 2005 - 16:16
schockraum      dimanche 23 avril 2006 - 17:46
heirophant      jeudi 29 décembre 2005 - 22:11
Dieu      vendredi 1 mai 2009 - 17:16

cd • 9 titres • 32:08 min

  • 1Substantial guilt vs. the irony of enjoying03:29
  • 2The bud dwyer effect04:41
  • 3Failure in the process of identifying a dream04:39
  • 410110111011000102:34
  • 5Binary, part II04:05
  • 6the death of one man is a tragedy, the death of 10 000 is a statistic02:02
  • 7Oceanic Motion03:19
  • 8The girl nextdoor is always screaming03:30
  • 9A regular dose of azure03:46

informations

Produced by Yannick St-Amant and 10, recorded and mixed by Yannick St-Amant, may and june 2003 at victor Studio and 1619 studio.

line up

Band : Gabriel Mc Caughry (vocals and lyrics), Antoire Lussier (guitar), Sebastien Chaput (guitar), Miguel Valade (bass), Jean-françois Richard (drums)

chronique

  • synthèse démente du brutal et du new sch

Claque : n.f. désignant une main se dirigeant vers une joue, dans le but d'exercer une douleur. Ex : "si tu m'énerves, j'vais te mettre une claque dans la gueule". Ion Dissonance vient, avec cet opus, de me foutre une énooorme claque comme je n'en ai pas eu depuis très longtemps. Prenez tout ce qui est brutal et new school, mélanger le tout, boostez avec de la cocaïne, et vous obtenez Ion Dissonance. Imaginez Dillinger Escape Plan, Converge, Cryptopsy, Meshuggah, Brunt By The Sun et tout leurs amis, réunis dans un seul et même groupe...vous voyez ? Non, de toute façon vous ne pouvez pas voir tellement c'est impressionnant. Soyons plus précis : prenez une guitare au son ultra épais, ultra gras, mais aussi ultra vif et tranchant, maîtrisant l'art de la dissonance aussi bien que l'art de la syncope, alternant grosses rythmiques lourdes avec des passages supersoniques dans les aigus, oscillant entre les deux dans l'espace d'une poignée de secondes. Prenez des mélodies typiquement hardcore avec d'autre carrément metal, passez les au mixeur, ralentissez, accélérez, étirez, écrabouillez...Prenez un chanteur hystérique, dément, capables de hurler aussi bien dans les aigus (super criard, proche parfois de Yamatsuka Eye de Naked City / Boredoms) que dans les graves (sans être growl...proche de ce que peut faire Burnt By The Sun, la ressemblance est parfois troublante), usant de sa voix originale pour faire monter l'adrénaline indispensable à se genre musical. Prenez aussi un batteur monstrueux, hyper technique mais fluide, une pieuvre humaine, au jeu extrêmement mouvant, capable de blasts comme de breaks jazzy, de syncope et de parties "pure headbanging". Prenez aussi un bassiste soliste dont le groove semble être le but ultime. Voilà, vous avez Ion Dissonance. Mais ce n'est pas tout : que serait le groupe sans l'incroyable diversité de ses compos ? C'est sur ce point que Ion Dissonance fait véritablement la différence avec ses camardes : ce "breathing is irrelevant" est sans doute l'album le plus varié de sa catégorie (tu m'étonnes, avec de telles influences...). C'est dingue, on passe du hardcore new school très Dillinger ("failure in the process of identifying a dream", "binary, part II" avec le break jazzy à la "43%burnt") au Meshuggah-like ("a regular dose of azure" est limite clone, en plus dément !), en passant par le gros metal plein de mosh parts ("the death of one man is a tragedy, the death of 10 000 is a statistic"...marrant ce titre...), bref on ne s'ennuie pas une seconde, pire que ça, le disque n'a pas quitté mon discman depuis plus de trois semaines et je ne m'en lasse toujours pas ! Cet aspect dément est tellement présent que je ne peux m'empêcher d'y retourner continuellement...Le pire c'est que j'ai chopé ce disque au hasard, chez mon disquaire préféré, juste pour l'indication "power violence" sur la boîte. Une putain de découverte faramineuse...aussi fort et excitant que "Calculating Infinity"...peut être même plus...si vous aimez le style, vous DEVEZ acheter cette rondelle...obligatoirement...

note       Publiée le jeudi 29 janvier 2004

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Dieu Envoyez un message privé àDieu

Mouais j'adore les trucs techniques, chaotiques mais la ca passe pas, trop chiant, pas assez rentre-dedans... J'ai du me le passer 4-5 fois et chaque fois j'ai decroché, tout le contraire de Psyopus bien meilleur a mon gout car la au moins on s'emmerde pas!!!

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Rendez-Moi Envoyez un message privé àRendez-Moi

le hardcore efficace ça tient jamais longtemps j'trouve. J'capte pas ce que pleins de gens y trouvent, mais je me vois mal m'enchaîner tout un Hatebreed en entier. L'instable est plus tripant.

Powaviolenza Envoyez un message privé àPowaviolenza
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Y'a juste hardcore et hardcore calmos Painkiller le fouille-merde. D'ailleurs si tu te sens de groniquer toute la frange hardcore avec des couilles n'hésite pas. Perso, j'arrive plus à écouter plus de deux morceaux de ce type de hardcore "efficace" ricanisé... A quelques exceptions près (Most Precious Blood / Indecision, Comeback Kid pour le fun, Walls Of Jericho les deux premiers... euh... c'est tout)
Painkiller Envoyez un message privé àPainkiller
C'est bien ce que je pensais, un vieux gland de black metalleux dans ton genre ne connaît rien au hardcore.
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kama Envoyez un message privé àkama
A la poubelle, et c'est tant mieux.
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