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Enregistré live le 31 octobre 1991 au Brighton beach à Brooklyn, NY
Sal Abruscato (batterie), Kenny Hickey (guitares, chant), Josh Silver (claviers, chant), Peter Steele (chant, basse)
L'édition de 1994 propose un bonus track studio, la reprise de Black Sabbath, 8/ Paranoid
Idée très bizarre et assez saugrenue que de sortir un album live alors que le groupe n'a à son actif qu'un album studio ! Surtout qu'aucun titre dudit album n'est joué entièrement dans ce live ! On n'y retrouve que quelques parties de chansons seulement. On peut donc dire que c'est un nouvel album du groupe sauf qu'ici c'est enregistré en concert ! Le style est très proche de celui du premier album avec des enchainements entre des parties de metal lourd rapide avec des parties très lentes. On peut noter aussi que durant la majeure partie du set, le public insulte le groupe sans retenue ! Musicalement, c'est un peu confus et très inégal, certains passages sont bons et d'autres gâchent tout. Il y a cependant un titre très intéressant, la reprise de "Hey Joe", ici intitulé "Hey Pete". Le groupe a réussi à s'approprier le titre et à le jouer à sa manière et le rendu est très bon. Il s'agit du seul vraiment bon morceau de l'album. Sur la deuxième édition du CD a été rajouté une reprise en version studio du mega-tube de Black Sabbath, "Paranoid", mais là, il s'agit d'un véritable massacre ! Curieux et pas indispensable.
note Publiée le vendredi 4 mai 2001
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Ouais. Pour en finir avec mes posts sur Type O, qu'il ne m'arrive plus d'écouter ou presque, je trouve que Steele a formidablement résumé sa démarche sur cette pochette.
en plein revival type o. tout l'univers est déjà là, c'est assez surprenant d'ailleurs aussi tôt dans leur carrière, une maîtrise complète de leur sujet, de leur iconographie sex, death & fun !
so rock'n roll.
Classe ultime ce disque. Tout y est : chant de pochtron qui tient pas la note, accélérations foireuses, passages tubesques à deux francs, compos ficelées en deux heures la veille du concert. Une sorte de David Yow chante Cathedral en y croyant dur comme fer. Quant aux paroles, elles sont juste fantastiques. Unjustifi-a-bleeeee existeeencee...
Je trouve quand même que le "faux live" relève du détail, pour le reste on a quasiment la même chose que Slow, Deep and Hard. Heureusement qu'il y a les deux reprises, bien sympas.