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Sixth Comm / Mother Destruction › Little death
- 1994 • Celtic circle productions C.C.P. 020 • 2 CD
cd • 15 titres
- 1World as power
- 2Foretold
- 3Eyes of stone
- 4Born again
- 5Winter sadness
- 6No kindness
- 7A nothing life
- 8Neiflheim
- 9Blood 2
- 10Dream 39
- 11Swan death
- 12Sonfeite
- 13Othila
- 14Neiflheim 2
- 15Northstar
cd 2 • 15 titres
- 1Gift
- 2Birth of the seven
- 3Content
- 4Tears on fire
- 5Born of the dark
- 6One hand
- 7Calling
- 8Ravensong
- 9Mithras
- 10Doubt to death
- 11Hella
- 12Serpent dance
- 13Cenaz
- 14Beyond the Ka
- 15Untitled
informations
ce disque compile des titres des albums: Content with blood, A nothing life, Morthogenisis, Taste for flesh, Asylum, Grey years, Concrete temple, Tunrida, Seething et Pagan dance
line up
Amodali (chant, musique), Patrick O'Kill (chant, musique)
chronique
- rituel / new wave martiale / pagan ambie
Suite à leur rencontre et la transformation de Sixth comm en Mother Destruction, Patrick O’Kill et sa compagne Amodali ont eu des enfants, ce qui, par manque de moyens, les a surtout poussés à sortir des compilations ou des rééditions plus que des nouveautés. ‘Little death’ est justement une excellente opportunité de redécouvrir le parcours de la formation, des débuts de Patrick au sein de Death in June ( ‘Torture garden’ rebaptisé ici ‘World as power’, ‘Foretold’ retravaillé pour l’occasion) aux dernières productions du duo (‘Beyond the Ka’). Ces deux cds nous entraînent d’une new wave martiale, encore fortement électronique, teintée de cold wave (‘Othila’, ‘Neiflheim 2’) vers des atmosphères toujours plus rituelles et mystiques, moins froides mais plus inquiétantes et des climats incantatoires. On remarque également la disparition progressive de Patrick au chant qu’il laisse à Amodali pour se concentrer davantage sur les percussions et les structures des morceaux. Cette dernière y est tout simplement prodigieuse, véritable muse païenne, tour à tour sensuelle, hallucinée, enragée (le superbe ‘Mithras’, percussif en diable avec montées d’orgues et vocaux terrifiants dans la plus pure tradition Diamanda Galas), extatique (‘Hella’, le splendide ‘Serpent’s dance’) ; on songe parfois à Alzbeth de Moon lay hidden beneath a cloud. Si les titres de la première période sont très réussis, mélancoliques, ceux de la période Mother destruction sont tout bonnement irrésistibles de par leur énergie sauvage (écoutez donc le très ethnique 'Untitled', vous m'en direz des nouvelles). Cette compilation s’avère donc un témoignage essentiel du parcours de cette formation qui n’a certes pas connu la notoriété de Death in June ou Sol Invictus mais n’en demeure pas moins culte.
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