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Enregistré au Record Plant
Ginger Fish (batterie), Madonna Wayne Gacy (claviers, synthés), Marilyn Manson (chant), Twiggy Ramirez (guitares, basse), Zim Zum (guitares)
Un 15ème titre est disponible sur la partie multimédia du CD.
Après l'excellentissime et très sombre "Antichrist superstar", le groupe change complètement de style ici. Manson ne crie plus, il chante (eh oui !) mais la plus grosse différence se situe sur le plan musical. En effet, l'ambiance est devenue très rock avec pas mal d'effets sur les guitares et les claviers. Cela a pour conséquence de générer des atmosphères très planantes et certains morceaux sont d'ailleurs de très bons titres comme "Mechanical animals" et "The speed of pain". On y trouve aussi quelques titres de glam-rock comme "Rock is dead" ou le très marrant "I don't like the drugs". Le plus frappant est que jamais on ne s'ennuie à l'écoute de cet album, tous les titres sont bons et la fin est grandiose. Marilyn Manson a ici prouvé qu'il savait aussi composer de "vraies" chansons et pas seulement provoquer !
note Publiée le mercredi 11 avril 2001
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Note moyenne 77 votes
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il a un côté glacial pas dégueu cet album et j'avoue avoir un faible pour "the last day on earth". Il y a une dramaturgie, un côté exacerbé qui fait qu'on s'y croirait presque au dernier jour sur terre. Sinon, opus assez inégal et un poil sur-produit mais ça reste largement écoutable.
Reecouté le premier grace au Dun23, ca s'ecoute en fond sonore, rien de palpitant mais rien d'effrayant non plus. Par contre cette pochette de Mecanical animals, vierge de tout nom, c'etait une reussite aupres des profs et des parents un peu con. Eh ouais les zenfants, pas d'aie-phone dans les annes 90, juste un discman et un CD avec soi pour la journée.
Et oui celui ci renifle un peu la guimauve, c'est pas faux... en attendant pour moi c'est le seul qui passe encore aujourd'hui, les autres no way.
J'avoue que je ne me suis pas vraiment appesanti sur les paroles. Le gros souci de ce disque, c'est qu'il donne clairement la sensation de devoir être une usine à tubes. Sa cohérence éventuelle ne tient qu'à ça: une grosse machinerie qui ne peut supporter la moindre baisse de régime. Et à ce jeu là, Manson tombe assez largement à côté de la plaque. Déjà, ça commence très moyennement, "The Great Big White.." étant pas mal mais sans plus, "The Dope Show" me laisse toujours perplexe quant au "génie" de cette chanson, puis arrive en gros le meilleur moment du disque qui est la triplette "Mechanical.." (très lisse mais pas mal dans le genre pop-métal qui n'ose se l'avouer)-"Rock Is Dead" (quand du sous-NIN peut s'avérer sympa)-"Disassociative" (de loin le meilleur morceau du disque avec ses échos Bowie). C'est après que ça se gâte sévère: "The Speed Of Pain" possède une belle qualité mélodique mais les arrangements vocaux plus vocoder pourri l'achève vite fait. Et puis, de "Posthuman" à "Fundamentally...", c'est la catastrophe, que des bouses ou presque (l'effort groovy de "I Don't Like Drugs" est louable mais la réalisation est loin d'être au niveau). Ca reprend un peu de hauteur avec les deux derniers titres (qui sont assez bien foutus il faut le dire) mais bordel, que c'est poussif dans l'ensemble.
Hep hep hep don't you touch nutella ! Nutella is God, ok ? Il paraît que les paroles de Manson sont "pertinentes"... Sa musique étant ce qu'elle est, je n'irai pas vérifier.