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Paradise Lost › Symbol of Life

cd • 11 titres • 52:56 min

  • 1Isolate
  • 2Erased
  • 3Two Worlds
  • 4Pray Nightfall
  • 5Primal
  • 6Perfect Mask
  • 7Mystify
  • 8No Celebration
  • 9Self Obsessed
  • 10Symbol Of Life
  • 11Channel For Pain

informations

Chapel studios juin-juillet 2002, Dreamcatcher studios 2002

L'édition limitée contient deux titre bonus : "Xavier" (reprise de Dead Can Dance), et "Smalltown Boy" (Bronski Beat)

line up

Nick Holmes (chant), Greg Mackintosh (guitare, claviers), Aaron Aedy (guitare), Stephen Edmonson (basse), Lee Morris (batterie)

chronique

Je l'avais plutôt bien aimé à sa sortie, ce Symbol of Life... J'étais alors sous le charme de Eternal de Samael, 'voyez le genre, assez proche finalement du son et de l'esprit de cet album à la durée de vie comparable au goût des chewing-gums, qui, certes, bénéficie d'une production à la pneumatique impressionnante... Aujourd'hui j'ai des haut-le-cœur si je ressors Eternal, j'vous raconte pas... ah ? OK, donc vous vous en foutez, mais j'peux quand même le dire ? J'ai pas besoin, vous m'avez vu venir comme un percheron mal ferré : si Believe In Nothing est Near Dark, Symbol of Life, c'est Twilight (le film, pas notre légendaire chroniqueur !!!) "Erased" le tube m'a hanté assez longtemps, plus putencens que du Enigma, de même que "Pray Nightfall"; sans doute deux des grands hits de Paradise Lost. Avec la très catchy "Perfect Mask" pas loin derrière. Pour le reste, je connais les refrains par cœur, mais sérieusement, ce disque a vite montré ses limites après avoir montré ses biceps. Qu'est-ce qui différencie la recette et le feelingue de SOL de ce qu'il y avait sur les trois albums d'avants ? Les photos des musiciens à l'intérieur du livret, poses dans le plus pur style Obispo, se révèleront de précieuses clés pour percer à jour les mystères de son élaboration, mais ça déjà à l'achat le jour même de la mise en bac peu avant de passer le mien j'avais tilté, et réprimé une envie pyromane sur ces faces de débiles congénitaux à bouc métallos maquillées comme des premiers rôles pour un hypothétique thriller inspiré du jour tragique où le Land Cruiser de Lars Ulrich fût embouti par des fans. C'est un amateur de l'ultra-poli et super-popret Host qui vous le dit, en plus, pas un puriste détracteur du commercial façon "gnagnagna pas beau de faire de la pop booouh" (j'ai plus 16 ans ; j'en ai 17 et demi) Oui, cet album est un convenable usine à tubes, une grosse une vraie qui claque... Si la perspective d'un mash-up Metallica-Rammstein par des goths laqués et laquais vous excite. Mais si vous voyez pas la nuance entre ce programme informatique sophistos à grosse batterie et gros son de technicien de surface, et le disque d'avant, eh bien je ne peux pas grand chose pour vous. Un album de gros jockeys.

note       Publiée le dimanche 2 septembre 2012

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    Thirdeye Envoyez un message privé àThirdeye

    L'affectif prend le dessus.. Avec le temps je l'apprécie encore plus (un digipack sympa retrouvé sous sa couche de poussière..)

    Message édité le 09-02-2023 à 19:37 par Thirdeye

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    saïmone Envoyez un message privé àsaïmone
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    J'ai bien envie de le baisser d'une boule également, Thierry

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    Raven Envoyez un message privé àRaven
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    "Vingt ans après" : viens de tilter que le serpent de la pochette forme un "9". Et comme c'est, selon mes calculs, le neuvième album de leur discographie, je ne pense pas, en prenant toutes les précautions et les pincettes qu'il convient quant aux intentions symboliques de ce groupe, certainement profondes et subtiles, que cela soit une coïncidence. Voilà. C'est ce que je retiendrai d'essentiel après cette réécoute décennale.

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    Aplecraf Envoyez un message privé àAplecraf

    Je viens de découvrir que Rhys Fulber est mentionné dans les crédits claviers et en tant que producteur. M'étonnes pas qu'on trouve des tubes turbo dance floor comme Isolate sur cet album du coup... Un jour j'aimerai savoir qui était sur l'enregistrement de la batterie tant celle-ci me hante sur cet album

    Message édité le 11-02-2022 à 23:30 par Aplecraf

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    Shelleyan Envoyez un message privé àShelleyan
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    Merveille d'album ! Dire que j'ai failli le revendre...Une usine à tubes mais sans les gros sabots de Rammstein ni la production 'dépassée' de Samael. Ce skeud tient très bien le test du temps et j'avoue le kiffer plus maintenant qu'à sa sortie.

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