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Rollins Band › Come in and burn

cd • 13 titres • 54:04 min

  • 1Shame
  • 2Starve
  • 3All I want
  • 4The end of something
  • 5On my way to the cage
  • 6Thursday afternoon
  • 7During a city
  • 8Neon
  • 9Spilling over the side
  • 10Inhale exhale
  • 11Saying goodbye again
  • 12Rejection
  • 13Disappearing act

informations

Bearsville studios, Bearsville, New-York, USA

line up

Sim Cain (batterie), Melvin Gibbs (basse), Chris Haskett (guitare), Henry Rollins (chant), Theo Van Rock (son)

chronique

Signé à présent sur Dreamworks, le dernier caprice des dieux Spielberg, Katzenberg et Geffen, on pouvait craindre le pire pour celui dont l'intégrité semblait à jamais intouchable. Pourtant, il reconduit ici l'équipe qui l'avait accompagné sur "Weight". Les choses débutent d'ailleurs d'assez bonne manière avec un "Shame" presque caricatural tellement il répond aux canons du Rollins Band, et surtout l'énergique "Starve". Je me souviens avoir épluché avec attention quelques canards sortis à l'époque de la sortie de ce disque, dans lequels je pouvais lire Rollins défendre cette nouvelle politique et revendiquer son droit à se diversifier, à chercher un ailleurs, et surtout un autrement. A vouloir écrire des chansons d'amour, des trucs plus posés... Des propos pour le moins hallucinant. Et en effet, "Come in and Burn" est un album qui se consumme, et non pas se consomme, tout seul. Après une introdution des plus allechantes, peu ou pas de titres qui forment ce tir groupé de treize chansons n'arrivent à la cheville de ce bon départ, ni, et c'est ça le plus triste, à s'élever aux standards d'excellence qu'avait produit jusqu'ici le groupe. En vérité, le Rollins Band, si ce n'est pas Rollins lui-même, sont essouflés. La formule marche, mais à un point tel que, désormais, tout ce qu'ils peuvent produire ensemble ne pourra être que redondant. Raison pour laquelle Rollins commet l'irréparable en se trahissant dans des interviews parfois aussi grotesques que pathétiques. Était-ce prémédité ? Un des morceaux de l'album porte le titre "The End of Something". On sent effectivement, et très clairement, que c'est la fin de quelque chose. Ce quelque chose n'était pourtant pas n'importe quoi.

note       Publiée le vendredi 1 août 2003

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cyprine Envoyez un message privé àcyprine

Henryyyyyyyyyyyyjustyyyyyyyylikeyyyyyyyyyyyouyyyyyyyyyy

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Grim Envoyez un message privé àGrim
Le moins bon c'est sûr mais c'est toiut de même Henry Rollins et il en ressort des choses qui font que ce cédé n'est pas à jeter quand même.
Note donnée au disque :