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Secret Discovery › Way to salvation
- 1990 • Miracle Records 344 10162 AG • Lim • 500 copies • 1 LP 33 tours
lp • 7 titres
- 1Endless grey
- 2Way to salvation II
- 3Down from hell
- 4Alien
- 5Try to live
- 6Zerstörer
- 7Way to salvation I
extraits vidéo
informations
Franz K. Tonstudio, Witten, Ruhr, Allemagne, novembre 1989.
line up
Kai Hoffmann (chant, clavier, batterie), Falk Hoffmann (guitare), Michael Gusky (guiatre), Mathias Glathe (basse)
chronique
Je constate que Secret Discovery n’ont droit qu’à une entrée sur notre site et pas la plus glorieuse, ce qui n’est pas entièrement juste. Remontons donc vers le début, du moins celui que je connais parce que la première K7, elle, m’est inconnue. Finalement, ce groupe formé par deux jumeaux aux bras très noueux n’est-il pas parti sur une forme de malentendu (je me pose la question face à mon miroir) qui choquerait moins aujourd’hui ? Dès le départ, nos Allemands ont opté pour un son très dur notamment dans les guitares piochant volontiers dans le heavy (hey, c'est pas Eddie sur la pochette ?), voir plus (‘Endless gray’) tout en évoquant des influences héritées des Fields of the Nephilim, avec même quelques braises punky pas éteintes (‘Zerstörer’) au fond de la besace. Pas question de signer au registre des plaintes, on tient là du noir de noir, du goth rock qui ne fait pas semblant sans avoir encore les pieds englués dans la bouse. Même avec une certaine mauvaise foi me caractérisant parfois, il est difficile de ne pas accorder du crédit à ce disque; c’est puissant et glauque, plutôt bien torché en matière d’ambiances issues du Pandémonium, le chant est bon même s’il cherche encore ses marques entre l’after punk, le rauque et une violence clairement metal avec un zeste de désespoir; parfois je songe presque à une version goth de Celtic Frost mais ce n’est pas pour me déplaire. Il s’agit clairement de ma période favorite de Secret Discovery, coincée entre beaucoup d’influences mais pour un résultant bouillonnant et musclé, très noir de café, pas complètement abouti mais débordant d’une sincérité émotionnelle trouvant davantage grâce à mes oreilles que des opus ultérieurs. A l’instar des premiers Still Patient ?, une b.o. parfaite pour les tableaux de John Martin.
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- nicola › Envoyez un message privé ànicola
Si, c’est Eddie sur la pochette !