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Dying Fetus › Purification Through Violence
- 1996 • Pulverizer Records PRCD 004 • 1 CD
cd • 8 titres • 28:42 min
- 1Blunt Force Trauma05:27
- 2Beaten Into Submission02:50
- 3Skull Fucked02:54
- 4Permanently Disfigured03:25
- 5Raped On The Altar03:55
- 6Nothing Left To Pray For03:55
- 7Nocturnal Crucifixion03:23
- 8Skum (Fuck The Weak)02:53 [Reprise de Napalm Death]
informations
Enregistré par Steve Carr au studio Hit And Run. Produit par Dying Fetus.
Sorti en CD. Réédition en 2000 avec une autre illustration. L'illustration de la première version est de Nel Santiago, celle de la deuxième par Mike Harrison.
line up
Rob Belton (batterie), John Gallagher (voix, guitare), Brian Latta (guitare), Jason Netherton (basse, voix)
Musiciens additionnels : Vince Matthews (voix), Chad Buckler (voix), Chris Abelitis (voix)
chronique
Alors que le dernier album de Dying Fetus ne squatte pas vraiment mes oreilles, j’en arrive, dès que je pense à ce groupe à réécouter les débuts, notamment les albums avec Jason Netherton à la basse/dégueulis de chauve-souris, et ça donne l'occasion de boucher les trous d'une discographie qui commence quand même à être assez longue ! "Purification through Violence "est, on va dire, le premier véritable album après des démos et quand même cinq ans d’existence… donc on a là un groupe qui a déjà bien trainé dans l’underground avant d’émerger un croc de cette mare de sang qu’est la scène death metal de la côte Est au début des années 1990. L’album est court, le son bien mat de l’époque est comprimé comme mes orteils dans des bottes trop petites, on est quand même encore dans un brutal death bien rouleau compresseur, bien bourrin avec certes des légers breaks parfois rigolo (les guitares acoustiques mignonnes), d'autres un tout petit peu « funky » mais sans encore atteindre le niveau de danse metal et la dinguerie qui feront la joie de mon bassin rouillé par des années de nawak et de non-conformité aux règles imposées par ces profs d’EPS là… donc, une intro qui fait des arpèges à trois mille à l'heure, du growl/du crié, quelques accélérations un peu comme sur les débuts de Brutal Truth, des gros riffs de gros bœufs, et finalement un petit chouia d’inertie qui montre que le groupe n’a pas encore cet impact insensé qu’il va avoir sur ses prochaines sorties, notamment chez Relapse Records. Du bon gros pâté quoi, bien gluant, qui ne va pas vraiment vous « purifier par la violence » mais plutôt vous planter sur votre siège avec un début de maux d’estomac parce que vous vous êtes resservi deux fois ! C'est pas bien d’abuser du gras, on vous l’avait dit !
Dans le même esprit, Rastignac vous recommande...

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