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The Young Gods › The young gods

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Seijitsu      samedi 17 septembre 2011 - 10:48
torquemada      dimanche 1 octobre 2006 - 23:32

cd • 13 titres

  • 1Nous de la lune
  • 2Jusqu'au bout
  • 3A ciel ouvert
  • 4Jimmy
  • 5Fais la mouette
  • 6Percussionne
  • 7Feu
  • 8Did you miss me ?
  • 9Si tu gardes
  • 10The Irrtum boys
  • 11Envoyé
  • 12Soul idiot
  • 13C.S.C.L.D.F

informations

Artag Studio, Zürich, Suisse, 1985

Le disque est produit par Roli Mosimann

line up

Cesare Pizzi (samplers), Franz Treichler (chant), Frank Bagnoud (batterie)

chronique

  • rituel /rock

Chronique d’un groupe culte annoncé…en 1986 débarque un trio suisse de constitution peu traditionnelle pour l’époque, batterie, sampler, chant, pour une musique qui ne l’est pas moins. Brute et âpre comme la terre et le feu, elle mêle à la noirceur industrielle des éléments symphoniques et rythmiques quasi tribaux. Le travail de la batterie est riche et fouillé, pour des tempos rituels, martiaux, ou rapides et tranchés selon les morceaux. Les samplers sont ici utilisés comme de véritables instruments et les échantillons sont d’une qualité irréprochable : riffs de guitare, violons, grincements, cloches, orchestres fusionnent en une masse grondante qui explosent comme autant de brûlots industriels imparables. La voix rauque de Franz bat au rythme de la terre et égrène ses étranges paroles comme des poèmes de chair. La cohésion des trois éléments est impeccable et pas un temps mort ne vient obscurcir cette symphonie métallique, des tribaux ‘Fais la mouette’, ‘Nous de la lune’, ‘Percussionne’ au metal indus de ‘Jimmy’ ou ’Envoyé’ en passant par l’étonnante reprise du ‘Did you miss me ?’ de Gary Glitter . Le premier grand disque d’un grand groupe.

note       Publiée le jeudi 3 octobre 2002

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Note moyenne        20 votes

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Raven Envoyez un message privé àRaven
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Un peu comme un Tom Waits / Pigalle / Bachtung 80's dans un monde totalitaire aux bâtiments écrasants, mais pas que, loin s'en fosse, comme le second mais comme dit Dioneo : en brut de décoffrage, frais-rude, gros caillou étrange, aux ondes épaisses et inquiétantes : la pochette et sa texture disent assez du rugueux contact, et de la singulière beauté qui se dégage d'éléments aussi difformes assemblés, avec des ruptures de falaises dans la rythmique et les mélodies....... Avec cette dimension cabaret/théâtre déjà, mais pas "on se regarde pouet-poueter", plutôt dans un monde à la Theodore Sturgeon (Cristal qui songe), dressant ce drôle de rocher industriel post-quelque chose et proto-je sais pas quoi, sûrement des trucs entre Reznor et Kill The Thrill, allez ? Ovni inclassable, à l'image du groupe ?! Miam miam.

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Dioneo Envoyez un message privé àDioneo
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Dans le genre "débuts qui contiennent déjà la suite mais balancent tout plus cru" il est pas mal, ce premier Young Gods ! Le son est parfois pas mal à la ramasse, flou, là où dès L'Eau Rouge il trouvera sa précision propre, la mise au point parfaite (la voix enterrée dans le son sur Jusqu'au Bout...) ; Franz gueule plus arraché (plus metal ?) qu'il le fera jamais ensuite ; les samples massicotés à la diable donnent l'impression d'une urgence qui ne cherche pas encore à "unififer" les compos ; les enchaînements laissent parfois à peine le temps de respirer (A Ciel Ouvert/Jimmy)... Et pourtant c'est déjà très nettement du Young Gods, reconnaissables entre mille, les machines comme une espèce de Nature (seconde ? autre, modifiée, mutante...) un biotope particulier. Même la reprise pop toute pétée (Did You Miss Me de Gary Glitter) ne fait pas pièce rapportée, sonne juste au milieu de leurs trucs à eux. Hello, hello, it's GOOD to be back, GOOD to be back. (Et c'est vrai que je l'écoute moins que le suivant ou TV Sky, celui-là, depuis un moment, mais en vrai c'est con parce que oui, il est excellent aussi).

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Klarinetthor Envoyez un message privé àKlarinetthor

Va falloir que j'investisse dans la deluxe, oui. Il y a des modif sur le rendu de l'album, quelqu'un sait?

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Shelleyan Envoyez un message privé àShelleyan
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Vient d'être réédité en version double digipack avec en bonus un live de 1987 au Fri-Son

E. Jumbo Envoyez un message privé àE. Jumbo

Derrière le côté très "terrestre" de la musique, comme le dit Twilight, il y a un aspect plus aérien voire atmosphérique vraiment génial, ça rend super bien sous un ciel uniformément gris et orageux. Ça vaut presque même le coup de risque de se faire foudroyer (on peut se faire foudroyer à cause d'un lecteur mp3 ?).

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