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This Eternal Decay › I choose an eternity of this
- 2018 • Rehab Records 1 CD digipack
cd • 12 titres
- 1The witches rave
- 2Away
- 3The abyss
- 4D.K.
- 5Cut the crap
- 6Error N#1 [Love Is Gone]
- 7Daylight
- 8The need
- 9Eternity
- 10No God
- 11Eternity [Single Version]
- 12D.K. [Lestat Rework]
informations
Big Room Studio, Rome, Italie.
https://thiseternaldecayband.bandcamp.com/
line up
Riccardo Sabetti (chant, guitare, synthé, programmation), Pasquale Vico (basse, synthbasse), Andrea Freda (batterie, programmation)
chronique
Achat motivé par le grain sexy du papier : un membre d’Avant-Garde (pas encore présent sur cet opus), de Spiritual Front, de Date Midnight… L’underground peut aussi avoir ses super-groupes et This Eternal Decay en a la gueule, que des musiciens expérimentés ! L’ennui, c’est que les super-groupes sont rarement sexy IRL et concernant nos Italiens, ils ne m’ont pas fait changer d’avis. On ne va pas y aller au sabre d’emblée, on saisit bien qu’on n’a pas affaire à des manchots ; la production est très pro, très froide aussi. Pour poser un jalon de pensée, j’avoue ne pas être spécialement fan de groupes trop liftés par le studio, le truc très électrique sur scène mais tellement glacial sur disque qu’on pense à la photographie du film Alien 4. La batterie sonne comme une boîte à rythmes, beaucoup d’effets sur la voix, des bruitages electro, des grattes tranchantes comme des lames… On me rétorquera que cela peut servir le style, ce qui n’est pas faux car malgré le pedigree des Transalpins, la première influence me venant en tête serait Nine Inch Nails (‘Cut the crap’, ‘The winches rave’…). Une version parfois plus dansante (‘D.K.’) nous balançant à la fin des 90’s quand l’electro-indus (en admettant que ça veuille dire quelque chose) pour dancefloor avait grandement la cote. Donc, oui, il y a du beat, des atmosphères aussi chaleureuses qu’un intérieur en béton ciré, mais à mon goût, que c’est ennuyeux ! La palme revient à l’interminable ‘Eternity’, inoffensif, faussement émotionnel, une forme de guimauve pour robots aux limites du commercial. Ressenti probablement en partie subjectif aussi mais je me suis vraiment emmerdé mortellement aux écoutes de ce skeud, cherchant un récif, une perche, une accroche mais à chaque fois la musique a laissé défiler sa façade impressionnante mais tellement lisse, jamais assez franche dans ses intentions… Je croise les doigts pour que les suivants soient plus excitants.
note Publiée le dimanche 6 août 2023
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