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Coph Nia › That which remains
- 2000 • Cold meat industry CMI.85 • 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
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stankey | dimanche 4 novembre 2012 - 17:49 | |
Kobahlt | mardi 27 avril 2010 - 21:57 | |
jilbo | vendredi 2 février 2007 - 14:11 | |
Nerval | lundi 17 mai 2004 - 17:21 | |
Marco | mercredi 3 septembre 2003 - 00:45 | |
Eliphas | vendredi 13 décembre 2002 - 18:02 | |
taliesin | mardi 24 septembre 2002 - 08:12 | |
Nazha83 | lundi 11 novembre 2019 - 11:02 | |
Dead26 | samedi 21 mars 2015 - 18:59 | |
Wotzenknecht | dimanche 28 octobre 2007 - 23:28 | |
Faust Méphistophélès | dimanche 21 février 2016 - 12:12 | |
Karamazov | samedi 21 mars 2015 - 22:18 | |
shinjuku thief | lundi 11 février 2008 - 14:33 |
cd • 8 titres
- 1The scapegoat
- 2Opus 77
- 3Doppelgänger (oliphotic phantasmagoria)
- 4Sanctus
- 5Holy war (part 2 - silence)
- 6Our lady of the stars
- 7The veil
- 8That which remains
extraits audio
informations
line up
Aldenon Satorial (musique et composition), Bill Brissette (gutare), Clara Pahlen (chant)
chronique
- mystique
Il n’ y a pas à dire, Roger Karmanik a vraiment du génie ; il ne cesse de dénicher de nouveaux projets fascinants qui redonnent régulièrement du souffle à son label. C’est le cas des ésotériques Coph Nia qui nous proposent un album très sombre et très varié dans ses atmosphères. On pourrait décrire leur musique comme un mélange entre Raison d’être, Lustmord et Dead can dance. Le premier titre est très ambient, tout en noirceur, avec des infra basses grondantes, ‘adoucies’ de plages de synthé mélancoliques. Le deuxième garde ce côté ambient mais avec une approche plus rituelle. Une voix récite des textes d’ Aleister Crowley sur fond de plages lourdes ponctuées de quelques percussions ; avec,de temps à autre, un chœur féminin qui donne au morceau un côté très Dead Can Dance. Le troisième est tout simplement terrifiant avec une plage très sombre interrompue par des hurlements et une voix samplée rugissante qui revient sans cesse. Le titre suivant semble amener un peu de lumière céleste dans ces profondeurs abyssales avec un chœur déformé sur lequel se pose une voix aux intonations de prêcheur qui récite des textes en latin, ‘illuminé’ par deux fois d’une belle voix féminine mélancolique qui entonne un ‘sanctus’ accompagnée de quelques notes de guitare sèche. J’avoue que ce titre reste mon favori. Après ce bref répit, la musique replonge dans les ténèbres avec de lentes vagues de basses qui évoquent certains travaux de Lustmord. Changement radical d’ambiance avec la chanson suivante, très influencée par la musique mystique celte, accompagnée de percussions martiales et interprétée par une voix féminine qui n’est pas sans rappeler Lorenna McKennit. L’ultime morceau nous replonge, quant à lui, dans les ténèbres. Un disque riche donc, très intense et magnifiquement travaillé. Les atmosphères sont soigneusement développées dans des morceaux très longs et lents mais jamais ennuyeux.
note Publiée le dimanche 22 septembre 2002
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Note moyenne 13 votes
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- vigilante › Envoyez un message privé àvigilante
Un disque précieux, un dark ambient avec un pouvoir de l'image. Cérémonial et immersif. Une proposition élegante au questionnement de l'homme seul sur le peuplement de l'astral, comme une vérité qu'il appelle de tout son être. Je pense que je ne m'en lasserai jamais. C'est ma crise de foi, ou alors peut être que le confinement rend barge. Un disque qu'on ne ressort pas à la légère en tout cas. Ambiance Hellraiser. Chef d'œuvre.
- Dead26 › Envoyez un message privé àDead26
J'adore trop cet album, beau et effrayant à la fois mais d'une telle émotion.....
- Note donnée au disque :
- stankey › Envoyez un message privé àstankey
Vous déconnez les gars, j'ai franchement plus un flèche ^^
- Note donnée au disque :
- Wotzenknecht › Envoyez un message privé àWotzenknecht
- Un des disques les plus ésotériques sorti de l'abattoir CMI.
- Note donnée au disque :
- Wotzenknecht › Envoyez un message privé àWotzenknecht
- Etrange disque d'une grande noirceur mais paradoxalement très serein, qui semble entièrement voué à entourer le magnifique "Our Lady of the Stars", qui tend effectivement à toucher le ciel, avant de replonger aussitôt au plus profond des ténèbres...
- Note donnée au disque :