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Sleaford Mods › S.P.E.C.T.R.E.
- 2011 • Deadly Beefburger Records A52CD004 • 1 CD
cd • 9 titres
- 1Tramp stamps and trendy bollocks
- 2Swarfega
- 3Chimney
- 4Cheeky Wally
- 5Double diamond
- 6Urine mate welcome to the club
- 7The last 3 digits on the back of the card
- 8Rollatruc
- 9Guitar
extraits vidéo
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line up
Jason Williamson (chant, flow), Simon Parfrement (ordinateur, loops)
Musiciens additionnels : Ben Martin (saxophone), John Paul (spoken word)
remarques
chronique
Sucking Politicians Elected Cunts Trendy Rotting English…A votre tour, vous avez pigé le jeu ? Il est clair que James Bond et les Sleafords Mods n’ont rien en commun, le premier étant au service d’un Etat dont les seconds conchient les travers (entre autre) alors il y a certainement une autre raison au choix d’un tel titre…Bon, quatrième disque des Mods de Sleaford, le dernier avant l’arrivée de Andrew Fearn aux loops. Pour le coup, c’est le photographe Simon Parfrement qui s’y colle en pillant allègrement les Sex Pistols (des habitués du dépouillage), Jeff Beck, The Verve, Raekwon…La formule unique, une ou deux boucles et le chant de Jason Williamson. Dépouillé, épuré, divers. On arrive en effet à ne pas s’ennuyer tant le duo parvient à varier les atmosphères en jouant son hip hop sans cesse sur le tranchant du post punk sans y basculer vraiment cette fois-ci. Au programme, des trucs franchement groovy : ‘The last 3 digits on the back of the card’, ‘Cheeky Wally’ avec un vrai saxophone fort à propos, d’autres qui balancent tels que ‘Swarfega’ purement punk ou du moins post-punk. Nos Anglais prennent même quelques risques puisque ‘Rollatruc’ se construit sur une minute de boucle de basse uniquement, sans la moindre percussion; elles n’interviendront que sous forme de beat de caisse claire et à deux reprises, succinctement. Idem pour ‘The last 3 digits on the back of the card’ qui dure quand même presque sept minutes avec un flow très parlé. Et que dire du court ‘Guitar’ final qui sonne carrément improvisé ? Typique de l’humour spécial et corrosif du duo. Pas leur meilleur essai, manquant presque de finir en brouillon mais un bon moment quand même, ne fut-ce que pour déguster l’accent et la verve du sieur Williamson. L’arrivée de Andrew Fearn aux loops apportera un souffle nouveau et une meilleure stabilité qui se ressentira par un regain d’efficacité musicale. 3,5/6
note Publiée le jeudi 26 novembre 2020
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