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The Black › The priest of Satan
- 1994 • Necropolis records NR 003 • 1 CD digipack
détail des votes
Membre | Note | Date |
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Dead26 | mercredi 29 juillet 2020 - 20:25 | |
Shelleyan | mercredi 29 juillet 2020 - 18:26 | |
taliesin | vendredi 31 juillet 2020 - 09:31 |
cd • 12 titres
- 1The beast of fire
- 2The book of Leviathan
- 3Towards the golden dawn
- 4The sign of the evil spirit
- 5Lady Lilith
- 6Black blood
- 7The spirit of solitude
- 8After my prayers
- 9The goat of Mendes
- 10The priest of Satan
- 11The black opal eye
- 12Whirlwinds through the land of ice
extraits vidéo
informations
Underground Studio, Suède, avril/mai 1993.
line up
Rietas (chant, guitare, clavier), Leviathan (basse), The Black (batterie, clavier)
chronique
Trop de clarté, de chaleur, ça blesse mes pupilles, il faut changer ça, invoquer ce bon Satan par exemple mais en tant qu’humble quidam, comme dans l’église catholique, il me faudrait un intermédiaire pour m’adresser au suprême Boss…Tient, justement, le prêtre de Satan, les petits jeunes de The Black en parlent dans leur album. Des Suédois. Formés en 91 sous le nom de Black Flames, le temps de raccourcir le nom. Du bon black old school, carré avec des morceaux courts (deux à trois minutes en moyenne) dans lesquels il parviennent à caser les breaks, les accélérations réglementaires. Je ne sais plus comment j’étais tombé sur ce truc mais j’aime toujours bien. Si la production est globalement propre, elle n’est pas surchargée, ainsi quand les mecs collent un petit synthé lugubre à la très belle prestance, ça alimente l’ambiance, il n’y a pas le côté épique de Emperor. Un plus selon moi. Pour le reste, en plus des photos (couleur, sacrilège !) des zicos en pandas pas contents dans la neige, c’est bien torché. J’aime le feeling qui se dégage, comme si les mecs avaient enregistré dans leur local mais avec un bon son. La batterie sonne très bien avec tous ses éléments mis en valeur (chouette car le jeu est riche et imaginatif), la gratte dégage un son plus punk que raw black, la basse se perçoit et le vocaliste grogne comme il faut. Tout les éléments black old school mais sans saturation et ça colle justement une bonne atmosphère, quelque chose de joué dans une clairière la nuit entre les sapins sous la lune pleine plus que dans un caveau (normal, Satan aime l’air frais), avec une fougue clairement juvénile et pas mal de créativité ('The black opal eye' et son entrée acoustique sur lit de nappes). Pas un album souvent cité dans les classiques pourtant très plaisant. Il leur faudra douze ans pour sortir leur second album, permettant au chanteur de se chauffer les cordes vocales au sein de projets aussi divers que Karjalan Sissit, Iron Lamb, Vinterland, Tyrant, idem pour le batteur et ses baguettes. 4,5/6
note Publiée le mercredi 29 juillet 2020
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- taliesin › Envoyez un message privé àtaliesin
Signalons par ailleurs que le 'Rietas' n'est autre Jon Nödtveidt (de Dissection), et 'The Black', c'est Markus Pesonen...
- Note donnée au disque :
- taliesin › Envoyez un message privé àtaliesin
Un peu comme toi Twilight, je suis tombé là dessus par hasard - en plus c'était en promo, donc je l'ai acheté ;-) Je le possède toujours, mais franchement je n'ai jamais accroché plus que cela. Pas mauvais mais ultra banal...
- Note donnée au disque :