Absolute Controlled Clinical Maniacs › Live

k7 • 15 titres • 46:25 min

  • Face A
  • 1Decay03:50
  • 2NYMPF02:43
  • 3Braindamage04:03
  • 4Torture00:33
  • 5Sick in your mind05:25
  • 6Ronald Reagan00:57
  • 7So hard03:12
  • 8Bikini atol01:08
  • 9Power of passion05:08
  • Face B
  • 10Let the bomb go00:32
  • 11Vietnam03:44
  • 12Rozenberg's dead00:52
  • 13Target04:36
  • 14Burning inside03:24
  • 15Hours & hours06:18

informations

Enregistré live USF Fabrikken 14-Mar-1985 Bergen, Norvège (A1, A2, B1, B2, B3) ; Xenon 10-Mar-1985 Aarschot, Belgique (A3, A6, A7, A8, A9, B4, B5, B6) ; Hulen 17-Mar-1985 Bergen Norvège (A4, A5)

Cassette éditée pour accompagner la promotion de l'album "Sabotage" de Klinik.

line up

Dirk Ivens, Eric van Wonterghem, Marc Verhaeghen, Sandy Nijs

chronique

Absolute Controlled Clinical Maniacs : le premier super groupe de l’histoire de l’EBM ? Très bonne question, je vous remercie de me l’avoir posée ! Et la réponse est aussi limpide que ceci : Absolute Body Control (Dirk Ivens et Eric Van Wonterghem)+The Maniacs (Sandy Nys)+Marc Verhaeghen=The Klinik. Non toujours pas ? Hé bien oui, The Klinik, car ACCM n’est autre que le véhicule live de ce projet Belge unique en son genre et cette cassette qui reprend des enregistrements live datant du début de l’année 1985 un outil promotionnel pour accompagner la sortie du premier LP "Sabotage". Ce dernier sera à ce propos composé pour moitié d’extraits de ces mêmes sessions live (mais avec une sélection de titres différente). L’intérêt de cette compilation est de rendre compte de la palette d’atmosphères proposée par le groupe en devenir tout en payant hommage aux différents parcours des protagonistes impliqués : le glacial et délétère avec "Decay" et "Sick In Your Mind" (ici dans une excellente interprétation, plus "vivante" que la version "Sabotage"), le minimal dancefloor avec "Target", "Power of Passion" ou le toujours aussi prenant "Hours & Hours" sans oubier l’EBM classique distillée par "So Hard" (un titre de Absolute Body Control) et "Burning Inside". Quant à "Torture", "Nympf", "Ronald Reagan", "Bikini Atol", "Let the Bomb Go" et "Rozenberg’s Dead" ils font fonction d’interludes extraits de divers films et documentaires pour accentuer l’ambiance déjà malsaine de la musique (mention spéciale à "Nympf", je vous laisse découvrir...). Autre bonne nouvelle, le son s’avère de très bonne qualité et rend justice au caractère particulier du son Klinik, à l’évidence le but de la manœuvre promotionnelle ici à l’œuvre. Une pièce historique, parfait complément à "Sabotage", qui mériterait un petit dépoussiérage et une ressortie dans les règles pour la pérennité de l’évangile Klinik. Amen !

note       Publiée le mercredi 13 mai 2020

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