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The Jesus And Mary Chain › Stoned & dethroned
- 2006 • Rhino 8122-77672-2 • 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
---|---|---|
allobroge | mercredi 29 avril 2020 - 02:00 | |
Seijitsu | mercredi 29 avril 2020 - 00:57 | |
Shelleyan | mardi 28 avril 2020 - 21:56 | |
Klozer | vendredi 11 décembre 2020 - 23:57 |
cd • 17 titres
- 1Dirty water
- 2Bullet lovers
- 3Sometimes always
- 4Come on
- 5Between us
- 6Hole
- 7Never saw it coming
- 8She
- 9Wish I could
- 10Save me
- 11Til it shines
- 12God help me
- 13Girlfriend
- 14Everybody I know
- 15You've been a friend
- 16These days
- 17Feeling lucky
extraits vidéo
informations
line up
Steve Monti (batterie, percussions), Jim Reid (chant, guitare, slide guitare, basse), William Reid (guitare, guitare sèche, chant), Ben Lurie (basse, harmonica, guitare douze cordes)
Musiciens additionnels : Shane McGowan (vocaux additionnels), Hope Sandoval (vocaux additionnels)
chronique
Quelle lucidité avec ce titre ! Question de sensibilité mais moi, en toute partialité, les Jesus and Mary Chain, je les aime bruyants, vêtus de noir ou de jeans déchirés et hirsutes, ce qui explique que je n’ai plus réussi à crocher au delà de ‘Honey’s dead’ (quoique ‘Munki' soit plutôt pas mal, un peu pâlot peut-être ? A retenter) et ce cinquième essai studio enfonce le clou. Autrement dit, les suivre sur une longue route américaine à perte de vue en se la jouant pop post-psychédélique très tentée acoustique, bof. Ok, le Velvet aussi a composé des ballades et on connaît la passion des frères Reid pour les références américaines (Velvet Underground, Bo Diddley et compagnie)… D’ailleurs, l’exercice n’est pas totalement foiré, nos deux Ecossais savent torcher quelques beaux morceaux (le bon ‘Between us’, ‘Come on’) mais rien n’y fait, pour moi, cette atmosphère m’ennuie au plus haut niveau. Curieusement, c’est limite artificiel, comme si les musiciens se restreignaient volontairement. Limite. Les mecs sont tout sauf des manchots mais on doit quand même se farcir dix-sept titres bardés d’orchestrations paresseuses, de batterie de velours, qui font bâiller et c’est beaucoup trop long. On a beau se vautrer dans le pouf, rejeter la tête en arrière, s’allumer un troisième splif, le temps s’allonge; pourtant les compositions tournent autour des trois minutes seulement. En gros, oui, les frangins ont pris des risques, certes, ils sont capable d’écrire des choses relaxantes plus troubles, moins noires, mais à trop diluer le breuvage, il en perd sa saveur. Même les coucous bienvenus de Shane McGowan (‘God help me’) et ‘Hope Sandoval (‘Sometimes always’) ne troublent pas plus qu’un hoquet. Dix chansons maximum auraient suffi. En ce qui me concerne, accompagner Jésus et Marie le long d’un road trip sans fin à travers les USA me barbe prodigieusement et je préfère nettement les croiser au centre-ville, au pub, dans une salle mal éclairée, qu’au grand air…
note Publiée le mardi 28 avril 2020
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- vigilante › Envoyez un message privé àvigilante
Effectivement ça ne commence pas terrible...ça fait un peu route 66 en trot' electrique quoi.
En ce qui me concerne les frères Reid ça se résumera définitivement à Darklands, vu que là encore après 6 morceaux la touche eject s'impose d'elle même.
- torquemada › Envoyez un message privé àtorquemada
Oui il est chiant celui-là !
- nicola › Envoyez un message privé ànicola
Repéré, le bretonnisme.