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The Tomb Of Nick Cage › The pharaoh of New Orleans
- 2017 • Autoproduction 1 CD digipack
détail des votes
Membre | Note | Date |
---|---|---|
Shelleyan | lundi 1 juillet 2019 - 23:42 |
cd • 10 titres
- 1Pharaoh of New Orleans
- 2Ballad of Ripley
- 3They live
- 4All from one
- 5Tub of blood
- 6Chalkmarks
- 7Wickerman
- 8Vampire's kiss
- 9Nightbreed
- 10R'lyeh
informations
https://thetombofnickcage.bandcamp.com/music
line up
Melissa Crory (chant), Sean Mooney (basse), Aaron Macguire (guitare), Taylor Suarez (guitare), Edward Joubert (batterie)
chronique
Il paraît qu’il y aura de l’orage ce soir, tout le monde l’attend l’écume aux lèvres en suant à grosses gouttes mais le coquinou se fait attendre…On va mettre un disque en attendant, du deathrock qui aime le vert, c’est rafraichissant. Leur nom vient d’une tombe en forme de pyramide encore vide sise dans un cimetière de la Nouvelle-Orléans (d’où le groupe est originaire) et pour cause, elle appartient à l’acteur bien vivant Nicolas Cage. Nul ne sait trop pourquoi il l’a acquise mais cela lui permettra d’être inhumé pas loin de Marie Laveau, plutôt malin pour éviter les malédictions de l’au-delà. Bref, nos deathrockers couleur noir chlorophylle ont déjà produit un premier disque, celui dont je parle maintenant (logique). Outre un sens de l’humour personnel (leur ligne de lunettes de soleil estampillée TONC, des reprises assez sympa de classiques pour orner leur Bandcamp: Sisters of Mercy, Adam Ant, Ramones…), leur son, sans être novateur, esquive pourtant les canons les plus attendus du style. Ils se rapprochent en effet plus de 45 Grave que Christian Death; traduisez influences punky, arrangements rock’n’roll avec guitares bien électriques, puissantes (rien d’étonnant vu le passé metal de certains membres), goût certain pour le macabre et l’occulte mais aussi l’humour noir et une chanteuse à la voix du type qui ne s’en laisse pas si facilement conter, entre Dinah Cancer et Wendy O’Williams. Vu la pauvreté de choix sur la marché de l’horror punk, ce genre de combos arrive à point nommé pour palier à cette situation de manière plus évoluée. En effet, si la grammaire n’est pas neuve, on prend un réel plaisir à ces chansons bourrées d’énergie, bien torchées, avec une rythmique motivée et quelques belles parties de guitare (‘ Chalkmarks’, ‘Vampire’s kiss’, 'R'lyeh'…). A noter au passage que ‘All from one’ est l’inscription figurant (version latine) sur la future tombe de Nicolas Cage. En attendant, le fameux orage n’éclate toujours pas, je me liquéfie et j’ai le cul collé sur ma chaise…Au moins, j’ai un bon disque à écouter, je vais le rejouer une fois, tiens…
note Publiée le lundi 1 juillet 2019
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