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Sex Gang Children › Live in Vienna
- 2010 • Pink Noise PKNECD104 • 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
---|---|---|
Shelleyan | lundi 11 février 2019 - 22:39 |
cd • 14 titres
- 1The bormann chain
- 2Propaganda
- 3Times of our lives
- 4Saraband for dead lovers
- 5Barbarossa
- 6Freedom street
- 7Slave
- 8Les amants d'un jour
- 9Alien baby
- 10Arms of Cicero
- 11Circus days
- 12The quick gas gang
- 13Medea
- 14Song and legend
informations
Enregistré live le 1er novembre 2002, Vienne, Autriche.
line up
Andi SexGang (chant), Adrian Portas (guitare), Carl Magnusson (basse), Kevin Matthews (batterie), Martin Olofsson (violon)
chronique
Vienne, Autriche, premier novembre 2002, Sex Gang Children donnent un concert. Pas mal, hein ? Annoncé ainsi, ça a de la gueule, comme si c’était l’événement de la décennie. Il n’en est rien. Attention, je ne suis pas en train non plus de vous dire que ce disque est une merde, il est même bon. Pour plusieurs raisons. Après une décennie d’incertitude marquée par les changements de label, les compilations, les histoires de droits probablement et un disque expérimental pas franchement réussi (‘Wrath of God’), Andi entre de plein pied dans les années 2000 avec un album terrifiant (au sens positif du terme), ‘Bastard Art’. Finies les brouilles avec Dave Roberts, les soucis liés au nom, les Sex Gang et autres flous artistiques…Un peu à l’instar de Andrew Eldritch et les dérivés de Sisters, Andreas McElligott redevient l’unique Frankenstein, qu’importe les formes que prendra sa créature. Ce concert de Vienne reprend certes quelques titres anciens mais il propose aussi beaucoup de nouveau matériel extrait de ‘Bastard Art’ ce qu’aucune galette live n’avait encore proposé. Niveau son, ce n’est pas parfait (sur certains aigus, c'est limite) mais c’est satisfaisant, juste de quoi donner une sorte d’atmosphère intime permettant à l’auditeur de rejoindre la messe, de s’y lover et de profiter même s’il n’est pas au premier rang. Les interprétations sont très correctes même si le mastering général manque légèrement de punch et que le mixage sonne un chouia chaotique. Rien de grave. Andi est motivé, se montre succinct mais poli avec le public, adresse un ‘Wie geht es ihnen ?’ pour établir une bonne communication et livre une très bonne prestation vocale. Mais l’instrument qui tire le mieux son épingle du jeu et fait le charme de cet album, c’est le violon. Ce dernier libère tout le charme de ses cordes, confère des ambiances limite orientales (‘Saraband of dead lovers’), souligne de brillante manière les mélodies déjà puissantes (‘Freedom street’, ‘Les amants d’un jour’, ‘Arms of Cicero’). Un plus significatif de ce disque qui, aussi sympathique soit-il, restons honnêtes, sonne malgré tout comme un pirate et s’adresse de ce fait aux fans plus qu’aux débutants ou auditeurs occasionnels.3, 5/6
note Publiée le lundi 11 février 2019
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