Vous êtes ici › Les groupes / artistesBBig Black › Atomizer

Big Black › Atomizer

détail des votes

Membre Note Date
Ultimex      jeudi 12 mai 2022 - 22:42
DukeOfPrunes      mardi 12 février 2019 - 11:50
Raven      dimanche 27 janvier 2019 - 00:29
born to gulo      dimanche 27 janvier 2019 - 00:16
Crevis      vendredi 12 mai 2023 - 10:24
SEN      dimanche 3 février 2019 - 10:11
Dead26      dimanche 27 janvier 2019 - 17:12
Klarinetthor      dimanche 27 janvier 2019 - 14:34
Seijitsu      dimanche 27 janvier 2019 - 10:58
Shelleyan      samedi 26 janvier 2019 - 23:33

lp • 10 titres

  • 1Jordan, Minessota
  • 2Passing complexion
  • 3Big money
  • 4Kerosene
  • 5Bad houses
  • 6Fists of love
  • 7Stinking drunk
  • 8Bazooka Joe
  • 9Strange things
  • 10Cables (live)

extraits vidéo

informations

Chicago, Illinois, USA, 1986

Il s'agit de la version 30 ans remasterisée et incluant le morceau 'Strange things' non présent sur la compilation 'The rich man's eight track'.

line up

Steve Albini (chant, guitare, programmation), Santiago Durango (chant, guitare), Dave Riley (basse)

chronique

C'est beau, un bout de tôle rouillé, il n’y a pas que César à s’en être aperçu. N’est-ce pas une forme de pureté que cette corruption en action qui redéfinit la couleur, les contours, la force de certaines choses ? Big Black, c’est un morceau de tôle rouillée dans son symbolisme le plus puissant, sa beauté la plus affreuse…Big Black, ce sont des villes de merde aux noms que personne ne connaît où l’ennui est un art de vivre, des coins pourris si paumés qu’on ne les quitte pas de peur de ne savoir où aller, des vies aussi inutiles que des bouts de rouille…Cette rouille justement qui grince affreusement quand on tente de lui caresser le poil, qui gémit des crissements quand on la fait plier…Un son unique qui n’a jamais réellement fait école à coup de boîte cognante, de cordes distordues aux sonorités de poubelles, le punk industriel avant Ministry et version DIY (encore plus flagrant sur ‘Strange thing’, absent de la compilation ‘The rich man’s eight track’ et certains pressages, que Tonton Al a dû écouter en boucle !). Un génie de l’ambiance et des arrangements, des mélodies en béton (puisqu’on est dans la matière), ‘Atomizer’ est bel et bien la bombe de sa pochette, cheap à souhait qui te pètera à la gueule et te laissera des cicatrices à vie mais c’est pas grave; Kerosene est dans le coin et on sait comment ça finit avec elle !

note       Publiée le samedi 26 janvier 2019

Dans le même esprit, Shelleyan vous recommande...

Ministry - The mind is a terrible thing to taste

Ministry
The mind is a terrible thing to taste

La version produite et plus tardive...

dernières écoutes

    Connectez-vous pour signaler que vous écoutez "Atomizer" en ce moment.

    tags

    Connectez-vous pour ajouter un tag sur "Atomizer".

    notes

    Note moyenne        10 votes

    Connectez-vous ajouter une note sur "Atomizer".

    commentaires

    Connectez-vous pour ajouter un commentaire sur "Atomizer".

    Klarinetthor Envoyez un message privé àKlarinetthor

    J'aimais pas trop les groupes d'Albini (par rapport aux autres poids lourds du noise rock 80s), jusqu'à un monumental concert de Shellac à la Villette puis la découverte d'Atomizer.

    Note donnée au disque :