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Krieg › The Black House
- 2004 • Red stream records RSR-0169 • 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
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Dead26 | dimanche 17 septembre 2017 - 15:47 | |
Rastignac | dimanche 17 septembre 2017 - 13:55 |
cd • 12 titres • 41:43 min
- 1Deconstructing the Eternal Tombs01:52
- 2Deviant02:33
- 3Nemesis03:07
- 4Fleshprison Monolith04:07
- 5Fallen Princes of Sightless Visions...06:57
- 6A Process of Dying03:44
- 7Sickening Voices Without Speech02:45
- 8Ruin Under a Burning Sky03:07
- 9...Without Light05:40
- 10Murder Without the Burden of Conscience01:18
- 11Venus in Furs04:42 [Reprise de The Velvet Underground]
- 12Rooms01:51
extraits vidéo
informations
Enregistré par L'hiver et Phaedrus entre le deux et le sept janvier 2003 au Winterblut Studio.
Illustration par Jeff Marcheski. Editions vinyle chez Darkland Records.
line up
Akhenaten ([Phaedrus] guitare, alto), N. Imperial (voix), SM Daemon (basse), Thrawn Thelemnar ([Thron] batterie)
Musiciens additionnels : Aazaron (choeurs [10]), L'hiver (voix [12])
chronique
- todestrieb
Je tenais à mettre un petit bout de Krieg dans tout ce qui a déjà été écrit. Pourquoi ? Parce que Krieg est un des groupes sur lequel je me suis le plus partagé en deux, entre des réceptions du genre « mais bon dieu, c’est quoi cette musique de merde, c’est enregistré avec les pieds, j’en ai rien à foutre d’écouter qu’une note, une double grosse caisse, et les mêmes gargouillis pendant une heure », et celle principale qui fut en fait la première, sur cet album, à savoir : « mouais, ça passe bien un après-midi à regarder les gens par la fenêtre, ils s’affairent tous vers un point commun, ils marchent tous dans la même direction comme dirait l’autre ». Ce qu’il y a de bon dans Krieg, ou plutôt dans ce projet de Neil Jameson, alias Imperial, N. Imperial, Lord Imperial, SS Angelraper of the Bloodmoon (ouah), et aujourd’hui chroniqueur dans la presse metal un peu plus mainstream sur le ouèbe, c’est cette ambiance franchement déprimée, résignée, et en même temps très douée pour le répéter pendant des années, des albums, que la vie c’est de la merde, en empruntant des gimmicks à nos norvégiens ou français préférés dans le genre. The Black House lui est à peu près produit, peut-être le premier de cette qualité sonore dans leur discographie, à confirmer - je n’ai vraiment pas envie de me refader les premiers pour vérifier, désolé. Et c’est bien pour ça que ça m’a fait rager comme un rageux comme un bolos de rageux ouah c’est un rageux un bolos de rageux comme dirait les collégiens de 7 à 77 ans actuels : cette qualité de composition, cette hypersensibilité de notre Jameson a bel et bien souvent été jetée par la fenêtre avec le reste des larsens, et enregistrements effectuées avec le cul (non lavé je précise). Bon, après, il y en a qui aiment, je viens de relire les commentaires. Il y en a qui détestent aussi, je viens de relire les commentaires sur les autres chroniques. Là, dans cette maison noire, je suis confiant malgré cette reprise du Velvet vraiment de trop parce que moche, parce que c'est le genre de chanson qui ne se reprend pas. Pourquoi ? ben parce que, pfff... mais bon, sinon, je suis heureux de m’écouter de la merde mais bien moulée, imbibée de stress et d’angoisse, de drogues sûrement mal digérées, de maladie si bien mimée que ça fout quasiment des points de côté quand on écoute bien. Et finalement, cet album restera le seul que je m’efforcerai de garder dans le giron, je ne suis pas différentialiste, de Brassens à la BO des Bisounours, en passant par Krieg, ma petite pièce à disques, t’es bien d’accord wouh, elle est terrible.
note Publiée le dimanche 17 septembre 2017
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