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Death In June › Le bianche mani della morte

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Hazincourt      mardi 5 septembre 2017 - 09:48
Shelleyan      lundi 4 septembre 2017 - 23:28

cd • 17 titres

  • 1Introduzione
  • 2Tanti auguri
  • 3Sangue D'Inverno
  • 4Fino A Che La Carne Viva Sia Bruciata
  • 5Il Giardino Della Tortura
  • 6Pioggia Di Disperazione
  • 7L'Onore Del Silenzio
  • 8Signore Della Lebbra
  • 9Carosello
  • 10Lei Ha Detto Distruggi
  • 11Dubita Per Niente
  • 12Presagio
  • 13La Chiamata
  • 14Campi Di Ravizzone
  • 15E' Un Sogno (Dov'è Klaus Barbie?)
  • 16Strada Del Paradiso
  • 17E...Dov'è Benito?

informations

Enregistré live au Cinema San Marco, Mestre, Italie, 1985.

Existe en une version K7 reconnue par le groupe mais également en LP, en cd aux couleurs camouflage, cette fois sans l'aval des artistes. Contient une carte postale.

chronique

On va faire plaisir à Douglas et classer ce disque comme bootleg car il n’en reconnaît que la version K7 (que je ne possède pas). D’après lui, la qualité n’est pas terrible mais je doute; à lire les commentaires, elle serait supérieure au contraire; misons plutôt sur la maussaderie coutumière de notre ami qui n’en avait autorisé que quelques centaines qui se sont muées en milliers tels les pains entre les mains de Jesus, bientôt immortalisées sur divers supports (la rançon du succès d’un combo déjà culte). Comme l’indique le titre de cette classeuse édition (carton gaufré, avec carte postale à l’intérieur; existe même en couleur camouflage pour une version ultralimitée), il s’agit d’un concert italien donné à Mestre (province vénitienne) en 1985. D’après la date, vous avez vite saisi l’intérêt de l’objet: des titres de ‘Nada !’ qui vient de sortir, avec encore Patrick Leagas au sein du groupe, lequel s’en ira peu après ces concerts transalpins, mal dans sa peau et peu à l’aise avec les accusations de nazisme liées à Death in June pourtant infondées. Voilà l’occasion de découvrir sur scène des titres moins courants sur les autres lives de par leur coloration new wave marquée avec encore deux membres d’origine. La performance débute par une bande, un morceau de Hanns Eisler, un proche de Berthold Brecht (d’où l’ambiance cabaret proche de ‘L’Opéra de quat’sous’) suivi d’une intro sous forme de ‘Happy birthday pigface Christus, Maldoror, Maldoror’ rappelant que l’ami David Tibet était alors un collaborateur régulier. Le concert propose ensuite la totalité de ‘Nada !’ avec en bonus deux chansons du premier opus et un ‘Blood of winter’ encore inédit à cette époque. Incroyable que d’entendre un set presque exclusivement new wave, exception faite du martial et plombé ‘Torture garden’, du post punk goth de ‘Heaven Street’ et ’Til the living flesh is burned’ ou du mélancolique ‘The honour of silence’ avec ses cuivres ‘Morriconiens’. Contrairement aux récriminations de M. Pearce, le son est vraiment bon et permet de jouir pleinement de la performance. Signalons une version démente et percussive de ‘C’est un rêve’ prolongée comme un jeu d’écho sur le final ‘Dové è Benito’ collé à un hymne interprété en italien (j’en ignore la provenance) en guise de conclusion. Pour cette édition, tous les titres ont été traduits en italien ce qui ajoute une touche exotique à l’objet. Et on crie ‘Santo !’ au lieu de ‘Heilgie’ à la fin ?

note       Publiée le lundi 4 septembre 2017

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Hazincourt Envoyez un message privé àHazincourt

Un des meilleurs Bootlegs de Death In June période Nada !

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