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Criminal › Fear Itself

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Rastignac      mardi 25 juillet 2017 - 16:45

cd • 12 titres • 42:59 min

  • 1Intro00:58
  • 2Down Driven03:57
  • 3False Flag Attack03:40
  • 4Shock Doctrine03:16
  • 5The Needle and Knife03:39
  • 6Scream of Consciousness05:29
  • 7Summoning the Apocalypse03:27
  • 8The One Who Speaks at Night03:07
  • 9Animals to Gods03:59
  • 10Deep in the Rot03:56
  • 11Wasted Youth03:51
  • 12Carne molida03:40

informations

Enregistré, mixé et masterisé par Dan Biggin entre juin et novembre 2015 au HVR Recording Studio, Suffolk, Angleterre.

Sorti en cd, vinyle, téléchargement sur bandcamp.

line up

Anton Reisenegger (guitare, voix), Zac O'Neil (batterie), Danny Biggin (basse), Sergio Klein (guitare)

chronique

Bon Dieu, je voulais parler ici de tellement de choses, et tellement de disques sont resté en plan, à cause de pas le temps, ou de « tiens j’ai oublié » ! Méchant chroniqueur ! Vilain chroniqueur joufflu ! Parce qu’en fait il y en a des choses à écouter, ne serait-ce qu’en s’amusant à jouer à saut de puces dans les projets de tel ou tel musicien. Par exemple ce gars du nom de Georg Anton Reisenegger von Oepen. Et en plus il est chilien ! Cet Anton, j’ai trébuché plusieurs fois sur son nom car c’est une des figures du métal de l’extrême en Amérique Latine et de 1, et de 2 parce qu’il eu l’idée d’appeler un de ses groupes Pentagram… un peu comme le Neurosis colombien, ce nom est forcément resté en travers de ma tête à force de m’échiner à ne pas le confondre avec « l’autre ». Donc, oui, Anton Reisenegger j’en ai aussi entendu parler via Lock Up, groupe internationalisant de grind qui a le don de fédérer des têtes connues pour passer ainsi pour un all star band de la vénère attitude, parfois bien plus saine que la « positive » d’attitude, n’en déplaise à Lorie. Ici, c’est Criminal, groupe également antique, ayant pondu ses premières chansons au début des années 1990, et qui aujourd’hui joue un mélange assez bien senti de hardcore punk, de thrash, de death, de grindcore, toujours amené par l’insolent talent de guitaristique rythmique du malin Anton, dont la voix plutôt arrachée / beuglée ne ravira donc pas les amateurs de gruik gore mais plutôt ceux qui écoutaient du groove metal 24/24 au temps où la télé et la radio crachait "ten tons hammer" et qu'on se disait déjà que c'était mieux avant… euh sinon ? Que dire de plus… que la pochette est pour une fois bien illustrée, le groupe ayant bien pêché du côté obscur du nawak visuel ? Qu’il passe tout seul comme une lettre à la poste ? Qu’il comblera les amateurs de guitare bien sûr, mais aussi de rythmes chaloupés, laissant en arrière goût un sens certain du groove, une attitude qui doit bien enflammer les pits de Santiago à San Sebastian, sûrement à confirmer le jour où enfin je les verrai sur scène… ? Qui sait, peut-être, quand j’aurais fini de parler de tout ce que j’ai oublié en route, j'essaierai aussi de ne pas oublier de voir des groupes inattendus en concert…

note       Publiée le mardi 25 juillet 2017

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