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Super Heroines › Love and pain
- 1993 • Cleopatra CLEO 3751-2 • 1 CD
cd • 12 titres
- 1Children of the light
- 2Remembering Love
- 3Apathy
- 4Chasing Bars
- 5Generations Of Hypocrites
- 6Warning
- 7Tears Of A Star
- 8Black Wedding
- 9Black And Blue
- 10Horses On Fire (Live)
- 11Wed The Dead (Live)
- 12Death On The Elevator (Live)
extraits vidéo
informations
line up
Diane (batterie), Jill Emery (chant, basse), Cathy Flanga (batterie), Tish Luca (clavier), Eva O (chant, guitare), Del Mar Richardson (batterie), Sandra Ross (basse)
chronique
Je devais être dans la lune, enfin plutôt dans les limbes, pour ne pas vous avoir parlé de ce disque plus tôt, parce que du deathrock de cette trempe, on ne s’en lasse jamais. Indispensable compagnon de la compilation ‘Anthology 1982-1985’ groupant les deux premiers opus du groupe, il est sorti plus de dix ans après ces derniers. Détail sans la moindre importance autre que chronologique car qualitativement parlant, c’est une tuerie. Les filles sont au top de leur potentiel alors qu’on se demandait comment il serait possible de faire mieux encore. La réponse vient dès le titre d’ouverture, le cultissime ‘Children of the light’ avec sa mélodie diabolique, son orgue, et toujours ce chant grave, hanté, si spécial, de Eva O. Voilà qui donne le ton. Le deathrock made in Super Heroines, ce sont des arrangements complexes (car nous avons affaires à d’excellentes musiciennes) très dynamiques, bien sombres dans le rendu, irrésistibles en terme de mélodies, avec une production évitant la saturation. La lourdeur des guitares n’est pas sans évoquer quelques relents de heavy old school mais l’intention est clairement différente. Cet album inclut sa série de tubes meurtriers tels que ‘Apathy’, ‘Warning’, ‘Tears of a star’ plus ouvertement goth old school. Seul bémol, une différence de qualité de la production sur les dernières chansons; le label a en effet opté pour l’ajout aux six compositions nouvelles de morceaux plus anciens au grain sonore plus brut, auxquels s’adjoignent des versions live en bonus (au rendu un brin pourri, il faut bien l’admettre). Un peu dommage mais vu le potentiel de ‘Black wedding’, par exemple, il eût été dommage de s’en priver. Toujours est-il qu’il est difficile de se départir d’un sentiment de disque en deux parties, comme d’une compilation plus que d’un essai complet à l’identité marquée. Pas une raison pour bouder ‘Love and pain’ pour autant, ne fut-ce que pour découvrir les nouvelles pièces vraiment mortelles. La paire Eva O /Jill Emery, c’était un sacré tandem !
note Publiée le samedi 15 octobre 2016
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