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Enslaved › In Times

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Fusby      vendredi 14 juin 2019 - 19:49
Int      samedi 7 janvier 2023 - 09:57
Ghoul Master      samedi 18 juin 2022 - 11:48
Aranbeer      vendredi 2 mars 2018 - 16:41
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ribosome      jeudi 23 avril 2015 - 14:44
Rastignac      jeudi 19 mars 2015 - 14:25
torquemada      jeudi 19 mars 2015 - 12:31
E. Jumbo      jeudi 19 mars 2015 - 13:19
born to gulo      samedi 7 janvier 2023 - 11:40
Ultimex      dimanche 15 mai 2022 - 10:29
Powaviolenza      lundi 23 mars 2015 - 18:45
Dead26      dimanche 28 août 2016 - 00:05
Consultant en informatique      jeudi 19 mars 2015 - 14:05

cd • 6 titres • 53:00 min

  • 1Thurisaz Dreaming8:13
  • 2Building with Fire8:49
  • 3One Thousand Year of Rain8:13
  • 4Nauthir Bleeding8:10
  • 5In Times10:44
  • 6Daylight8:56

extraits vidéo

informations

Enregistré au Duper Studios et au Solslottet Studio (Bergen, Norvège). Enregistrements additionnels au Conclave & Earshot Studios (Bergen, Norvège) et au Peersonal Sound Studios. Mixé par Jens Bogren au Fascination Street Studio (Örebro, Suède). Produit par Iver Sandøy, Grutle Kjellson, Herbrand Larsen et Ivar Bjørnson.

Sorti sous forme CD, LP et téléchargement.

line up

Cato Bekkevold (batterie, percussions), Ivar Bjørnson (effets, guitare, voix, synthétiseurs), Arve Isdal (guitare), Grutle Kjellson (basse, voix), Herbrand Larsen (claviers, mellotron, voix).

Musiciens additionnels : Einar Selvik (voix [3]), XIVer Sandøy (effet, chœurs).

chronique

  • vikings de l'espace metal

Enslaved, groupe de black metal norvégien. Mais pas seulement. Enslaved, super méga groupe de black metal norvégien ! Ils vous rempliront vos salles de concert ! Ils vendront les disques, ils garderont le cap créatif ! Un peu de storitellingue : mon premier contact avec ce groupe fut placé sous le sceau de l'ennui. Pardon. Un concert aux Pays-Bas dans lequel je n'étais absolument pas rentré ; j'ai pas laissé le charme agir. J'ai donc laissé s'envoler au loin le cas "Esclavagé". Et puis, et puis, il y eut des chroniques de lues, ici et ailleurs, et enfin des disques écoutés, et un goût retrouvé pour les vikingueries - appétit endormi depuis une diffusion du film "Willow" au cinéma "L'Arlequin", Belley, 1988. Je retrouve ainsi avec curiosité mon Enslaved que j'ai fait mien, au bout d'un moment de digestion assez long mais rétributeur... car Enslaved, c'est un groupe qui a de l'inspiration, qui adooooore les guitares, qui aime les tricoter pour en faire des beaux pulls cosmiques pour l'hiver boréal, et ça j'aime, et j'aime toujours car ça s'entend encore sur In Times, dans cet album encore bien noir et froid et vikingo-psychodélico-progressivo-toussa : c'est là que c'est bô, c'est quand ils restent ancrés dans leur port de guitar heros du nord - torse poil, le fut' en cuir dans la glace, à embellir l'air ambiant, à le rendre plus profond, plus large, en trompétant dans les réalités obscures qui veinent les éléments air, et eau, etc. C'est moins dans l'emboitement parfois un peu perturbant des vocalises : leur agencement peut me gâcher le plaisir d'écouter cet album foisonnant, que ça soit la voix claire sucrée comme un MTV à la fraise chimique, ou la voix saturée dont la dégueulasserie ne concorde pas forcément avec le lyrisme tout mignon qui peut se passer derrière... mais, mazette, quand c'est juste pile poil dans l'agressivité ou l'onirisme voulu, comme sur le tube d'entrée (tube de 8 minutes quand même !), et quand les chœurs s'emballent derrière, par Thurisaz ça colle dans le fond du pantalon, mention spéciale aussi au chapitre de fin "Daylight" à ce sujet, j'en ai encore le thorax qui s'ouvre, comme une envie de faire du deltaplane à Bergen ! Et même : à force d'écoute, la cheeserie de certains passages clairs devient même enivrante, comme quoi, la contamination, ça marche toujours quand c'est bien fait. Continuité dans leur discographie actuelle, donc, pas de réelle rupture ici, pour ceux qui se poseraient la question : l'album déplaira ainsi aux monstres orthodoxes cuir et clous du coin mais ravira les tricéphales mangeant de la guitare en bois le matin, de la musique électronique à midi, et du Emperor au diner - avec un peu de David Gilmour pour dormir.

note       Publiée le jeudi 19 mars 2015

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Note moyenne        14 votes

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Aladdin_Sane Envoyez un message privé àAladdin_Sane

@Consultant en informatique : c'est surtout le meilleur album d'Opeth depuis un bout de temps ;-)

Nerval Envoyez un message privé àNerval

Je ne sais pas trop quoi en penser. Depuis RIITIIR ils ont totalement redressé la barre niveau musique. Surtout les riffs totalement Enslavien qui envoient bien quand Grutle chante. Mais je déteste toujours autant cette voix claire. Je ne sais pas pourquoi ils s’obstinent, car leur claviériste n'est clairement pas un bon chanteur. C'est plat et sans émotion. Et malheureusement cette voix est absolument partout. Donc 6/6 pour les riffs et les passages avec Grutle, mais 1/6 pour les passages en chant clair.

Richter Envoyez un message privé àRichter

Commandé pas plus tard que ce soir, j'ai hâte qu'il arrive. Les premiers extraits étaient alléchants !

Rastignac Envoyez un message privé àRastignac
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Ahah ! Ben ça sera le seul que j'aurai chroniqué. Edith : Torquemada, il fait la même chose à la maison ce disque... (ce que je ne vivrai jamais avec un Opeth malheureusement, ou heureusement, ou euh...).

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Consultant en informatique Envoyez un message privé àConsultant en informatique
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C'est un super album d'Opeth.

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